mardi 29 décembre 2009

Le conte des bergers

Un berger des Landes – appelons le Ehlem – prenait bien soin de ses moutons depuis 2004, si bien que son troupeau était passé de 50 à 110 moutons en 5 ans. Il partageait depuis peu ses pâturages et sa bergerie avec un autre berger : Davitta. Celui-ci avait des moutons plus difficiles à élever et son troupeau avait un peu diminué ces dernières années, mais depuis que les deux bergers étaient ensemble, les choses allaient mieux et le troupeau de Davitta s'était stabilisé.
Ehlem était en train de surveiller son troupeau, réfléchissant à d'autres prés où il pourrait faire paître ses moutons, quand soudain un hélicoptère se pose devant lui dans un nuage de poussière. En sort un vieil homme en complet sombre, accompagné d'un jeune homme avec des chaussures à faire pâlir Roland Dumas, et de 6 gardes du corps avec costume et oreillette.
Le vieil homme dit à Ehlem : « Vous ne gérez pas bien vos moutons. Je prends votre place. Je vais m'occuper d'eux ».
Sidéré, Ehlem voit alors une rutilante Range Rover monter la colline dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani,chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au berger :
-- Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Ehlem regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
-- Certainement.
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son téléphone cellulaire, navigue sur Internet, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région,ouvre une base de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes ; finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
-- Vous avez exactement 110 moutons dans votre troupeau.
-- C'est exact, dit Ehlem. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un.
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
-- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous mon mouton ?
-- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
-- Vous êtes énarque et vous faites des AUDITS , dit le berger
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé, vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais la réponse et, manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier.
-- Maintenant, rendez-moi mon chien !

Elhem voit ensuite arriver des camions dans lesquels le vieil homme sorti de l'hélicoptère fait monter les moutons. Etonné, il lui demande :
-- Que faites vous avec mon troupeau ?
-- Je les envoie paître dans des prés beaucoup plus grands à Lyon.
Quelques semaines passent. Ehlem apprend que 20 moutons sont morts dans les camions pendant le transfert, et que 30 autres n'ont pas supporté la nourriture trop riche de Lyon.

Ehlem s'approche alors du vieil homme qui est revenu, et lui dit :
-- Vous êtes énarque et vous travaillez pour l'ACAM, dit le berger.
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous arrivez pour vous occuper d'un troupeau qui va très bien, vous le décimez en le déplaçant dans un troupeau beaucoup plus grand et vous en êtes fier.
Maintenant, rendez moi ce qui reste de mon troupeau !

Ceci n'est qu'un conte... toute ressemblance avec la réalité ne peut être que fortuite et involontaire.

Le conte des bergers

Un berger des Landes – appelons le Ehlem – prenait bien soin de ses moutons depuis 2004, si bien que son troupeau était passé de 50 à 110 moutons en 5 ans. Il partageait depuis peu ses pâturages et sa bergerie avec un autre berger : Davitta. Celui-ci avait des moutons plus difficiles à élever et son troupeau avait un peu diminué ces dernières années, mais depuis que les deux bergers étaient ensemble, les choses allaient mieux et le troupeau de Davitta s'était stabilisé.
Ehlem était en train de surveiller son troupeau, réfléchissant à d'autres prés où il pourrait faire paître ses moutons, quand soudain un hélicoptère se pose devant lui dans un nuage de poussière. En sort un vieil homme en complet sombre, accompagné d'un jeune homme avec des chaussures à faire pâlir Roland Dumas, et de 6 gardes du corps avec costume et oreillette.
Le vieil homme dit à Ehlem : « Vous ne gérez pas bien vos moutons. Je prends votre place. Je vais m'occuper d'eux ».
Sidéré, Ehlem voit alors une rutilante Range Rover monter la colline dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani,chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au berger :
-- Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Ehlem regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
-- Certainement.
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son téléphone cellulaire, navigue sur Internet, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région,ouvre une base de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes ; finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
-- Vous avez exactement 110 moutons dans votre troupeau.
-- C'est exact, dit Ehlem. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un.
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
-- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous mon mouton ?
-- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
-- Vous êtes énarque et vous faites des AUDITS , dit le berger
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé, vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais la réponse et, manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier.
-- Maintenant, rendez-moi mon chien !

Elhem voit ensuite arriver des camions dans lesquels le vieil homme sorti de l'hélicoptère fait monter les moutons. Etonné, il lui demande :
-- Que faites vous avec mon troupeau ?
-- Je les envoie paître dans des prés beaucoup plus grands à Lyon.
Quelques semaines passent. Ehlem apprend que 20 moutons sont morts dans les camions pendant le transfert, et que 30 autres n'ont pas supporté la nourriture trop riche de Lyon.

Ehlem s'approche alors du vieil homme qui est revenu, et lui dit :
-- Vous êtes énarque et vous travaillez pour l'ACAM, dit le berger.
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous arrivez pour vous occuper d'un troupeau qui va très bien, vous le décimez en le déplaçant dans un troupeau beaucoup plus grand et vous en êtes fier.
Maintenant, rendez moi ce qui reste de mon troupeau !

Ceci n'est qu'un conte... toute ressemblance avec la réalité ne peut être que fortuite et involontaire.

Le conte des bergers

Un berger des Landes – appelons le Ehlem – prenait bien soin de ses moutons depuis 2004, si bien que son troupeau était passé de 50 à 110 moutons en 5 ans. Il partageait depuis peu ses pâturages et sa bergerie avec un autre berger : Davitta. Celui-ci avait des moutons plus difficiles à élever et son troupeau avait un peu diminué ces dernières années, mais depuis que les deux bergers étaient ensemble, les choses allaient mieux et le troupeau de Davitta s'était stabilisé.
Ehlem était en train de surveiller son troupeau, réfléchissant à d'autres prés où il pourrait faire paître ses moutons, quand soudain un hélicoptère se pose devant lui dans un nuage de poussière. En sort un vieil homme en complet sombre, accompagné d'un jeune homme avec des chaussures à faire pâlir Roland Dumas, et de 6 gardes du corps avec costume et oreillette.
Le vieil homme dit à Ehlem : « Vous ne gérez pas bien vos moutons. Je prends votre place. Je vais m'occuper d'eux ».
Sidéré, Ehlem voit alors une rutilante Range Rover monter la colline dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani,chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au berger :
-- Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Ehlem regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
-- Certainement.
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son téléphone cellulaire, navigue sur Internet, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région,ouvre une base de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes ; finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
-- Vous avez exactement 110 moutons dans votre troupeau.
-- C'est exact, dit Ehlem. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un.
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
-- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous mon mouton ?
-- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
-- Vous êtes énarque et vous faites des AUDITS , dit le berger
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé, vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais la réponse et, manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier.
-- Maintenant, rendez-moi mon chien !

Elhem voit ensuite arriver des camions dans lesquels le vieil homme sorti de l'hélicoptère fait monter les moutons. Etonné, il lui demande :
-- Que faites vous avec mon troupeau ?
-- Je les envoie paître dans des prés beaucoup plus grands à Lyon.
Quelques semaines passent. Ehlem apprend que 20 moutons sont morts dans les camions pendant le transfert, et que 30 autres n'ont pas supporté la nourriture trop riche de Lyon.

Ehlem s'approche alors du vieil homme qui est revenu, et lui dit :
-- Vous êtes énarque et vous travaillez pour l'ACAM, dit le berger.
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous arrivez pour vous occuper d'un troupeau qui va très bien, vous le décimez en le déplaçant dans un troupeau beaucoup plus grand et vous en êtes fier.
Maintenant, rendez moi ce qui reste de mon troupeau !

Ceci n'est qu'un conte... toute ressemblance avec la réalité ne peut être que fortuite et involontaire.

Le conte des bergers

Un berger des Landes – appelons le Ehlem – prenait bien soin de ses moutons depuis 2004, si bien que son troupeau était passé de 50 à 110 moutons en 5 ans. Il partageait depuis peu ses pâturages et sa bergerie avec un autre berger : Davitta. Celui-ci avait des moutons plus difficiles à élever et son troupeau avait un peu diminué ces dernières années, mais depuis que les deux bergers étaient ensemble, les choses allaient mieux et le troupeau de Davitta s'était stabilisé.
Ehlem était en train de surveiller son troupeau, réfléchissant à d'autres prés où il pourrait faire paître ses moutons, quand soudain un hélicoptère se pose devant lui dans un nuage de poussière. En sort un vieil homme en complet sombre, accompagné d'un jeune homme avec des chaussures à faire pâlir Roland Dumas, et de 6 gardes du corps avec costume et oreillette.
Le vieil homme dit à Ehlem : « Vous ne gérez pas bien vos moutons. Je prends votre place. Je vais m'occuper d'eux ».
Sidéré, Ehlem voit alors une rutilante Range Rover monter la colline dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani,chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au berger :
-- Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Ehlem regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
-- Certainement.
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son téléphone cellulaire, navigue sur Internet, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région,ouvre une base de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes ; finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
-- Vous avez exactement 110 moutons dans votre troupeau.
-- C'est exact, dit Ehlem. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un.
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
-- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous mon mouton ?
-- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
-- Vous êtes énarque et vous faites des AUDITS , dit le berger
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé, vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais la réponse et, manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier.
-- Maintenant, rendez-moi mon chien !

Elhem voit ensuite arriver des camions dans lesquels le vieil homme sorti de l'hélicoptère fait monter les moutons. Etonné, il lui demande :
-- Que faites vous avec mon troupeau ?
-- Je les envoie paître dans des prés beaucoup plus grands à Lyon.
Quelques semaines passent. Ehlem apprend que 20 moutons sont morts dans les camions pendant le transfert, et que 30 autres n'ont pas supporté la nourriture trop riche de Lyon.

Ehlem s'approche alors du vieil homme qui est revenu, et lui dit :
-- Vous êtes énarque et vous travaillez pour l'ACAM, dit le berger.
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous arrivez pour vous occuper d'un troupeau qui va très bien, vous le décimez en le déplaçant dans un troupeau beaucoup plus grand et vous en êtes fier.
Maintenant, rendez moi ce qui reste de mon troupeau !

Ceci n'est qu'un conte... toute ressemblance avec la réalité ne peut être que fortuite et involontaire.

Le conte des bergers

Un berger des Landes – appelons le Ehlem – prenait bien soin de ses moutons depuis 2004, si bien que son troupeau était passé de 50 à 110 moutons en 5 ans. Il partageait depuis peu ses pâturages et sa bergerie avec un autre berger : Davitta. Celui-ci avait des moutons plus difficiles à élever et son troupeau avait un peu diminué ces dernières années, mais depuis que les deux bergers étaient ensemble, les choses allaient mieux et le troupeau de Davitta s'était stabilisé.
Ehlem était en train de surveiller son troupeau, réfléchissant à d'autres prés où il pourrait faire paître ses moutons, quand soudain un hélicoptère se pose devant lui dans un nuage de poussière. En sort un vieil homme en complet sombre, accompagné d'un jeune homme avec des chaussures à faire pâlir Roland Dumas, et de 6 gardes du corps avec costume et oreillette.
Le vieil homme dit à Ehlem : « Vous ne gérez pas bien vos moutons. Je prends votre place. Je vais m'occuper d'eux ».
Sidéré, Ehlem voit alors une rutilante Range Rover monter la colline dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani,chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au berger :
-- Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Ehlem regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
-- Certainement.
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son téléphone cellulaire, navigue sur Internet, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région,ouvre une base de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes ; finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
-- Vous avez exactement 110 moutons dans votre troupeau.
-- C'est exact, dit Ehlem. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un.
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
-- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous mon mouton ?
-- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
-- Vous êtes énarque et vous faites des AUDITS , dit le berger
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé, vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais la réponse et, manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier.
-- Maintenant, rendez-moi mon chien !

Elhem voit ensuite arriver des camions dans lesquels le vieil homme sorti de l'hélicoptère fait monter les moutons. Etonné, il lui demande :
-- Que faites vous avec mon troupeau ?
-- Je les envoie paître dans des prés beaucoup plus grands à Lyon.
Quelques semaines passent. Ehlem apprend que 20 moutons sont morts dans les camions pendant le transfert, et que 30 autres n'ont pas supporté la nourriture trop riche de Lyon.

Ehlem s'approche alors du vieil homme qui est revenu, et lui dit :
-- Vous êtes énarque et vous travaillez pour l'ACAM, dit le berger.
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous arrivez pour vous occuper d'un troupeau qui va très bien, vous le décimez en le déplaçant dans un troupeau beaucoup plus grand et vous en êtes fier.
Maintenant, rendez moi ce qui reste de mon troupeau !

Ceci n'est qu'un conte... toute ressemblance avec la réalité ne peut être que fortuite et involontaire.

Le conte des bergers

Un berger des Landes – appelons le Ehlem – prenait bien soin de ses moutons depuis 2004, si bien que son troupeau était passé de 50 à 110 moutons en 5 ans. Il partageait depuis peu ses pâturages et sa bergerie avec un autre berger : Davitta. Celui-ci avait des moutons plus difficiles à élever et son troupeau avait un peu diminué ces dernières années, mais depuis que les deux bergers étaient ensemble, les choses allaient mieux et le troupeau de Davitta s'était stabilisé.
Ehlem était en train de surveiller son troupeau, réfléchissant à d'autres prés où il pourrait faire paître ses moutons, quand soudain un hélicoptère se pose devant lui dans un nuage de poussière. En sort un vieil homme en complet sombre, accompagné d'un jeune homme avec des chaussures à faire pâlir Roland Dumas, et de 6 gardes du corps avec costume et oreillette.
Le vieil homme dit à Ehlem : « Vous ne gérez pas bien vos moutons. Je prends votre place. Je vais m'occuper d'eux ».
Sidéré, Ehlem voit alors une rutilante Range Rover monter la colline dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani,chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au berger :
-- Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Ehlem regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
-- Certainement.
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son téléphone cellulaire, navigue sur Internet, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région,ouvre une base de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes ; finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
-- Vous avez exactement 110 moutons dans votre troupeau.
-- C'est exact, dit Ehlem. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un.
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
-- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous mon mouton ?
-- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
-- Vous êtes énarque et vous faites des AUDITS , dit le berger
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé, vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais la réponse et, manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier.
-- Maintenant, rendez-moi mon chien !

Elhem voit ensuite arriver des camions dans lesquels le vieil homme sorti de l'hélicoptère fait monter les moutons. Etonné, il lui demande :
-- Que faites vous avec mon troupeau ?
-- Je les envoie paître dans des prés beaucoup plus grands à Lyon.
Quelques semaines passent. Ehlem apprend que 20 moutons sont morts dans les camions pendant le transfert, et que 30 autres n'ont pas supporté la nourriture trop riche de Lyon.

Ehlem s'approche alors du vieil homme qui est revenu, et lui dit :
-- Vous êtes énarque et vous travaillez pour l'ACAM, dit le berger.
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous arrivez pour vous occuper d'un troupeau qui va très bien, vous le décimez en le déplaçant dans un troupeau beaucoup plus grand et vous en êtes fier.
Maintenant, rendez moi ce qui reste de mon troupeau !

Ceci n'est qu'un conte... toute ressemblance avec la réalité ne peut être que fortuite et involontaire.

Le conte des bergers

Un berger des Landes – appelons le Ehlem – prenait bien soin de ses moutons depuis 2004, si bien que son troupeau était passé de 50 à 110 moutons en 5 ans. Il partageait depuis peu ses pâturages et sa bergerie avec un autre berger : Davitta. Celui-ci avait des moutons plus difficiles à élever et son troupeau avait un peu diminué ces dernières années, mais depuis que les deux bergers étaient ensemble, les choses allaient mieux et le troupeau de Davitta s'était stabilisé.
Ehlem était en train de surveiller son troupeau, réfléchissant à d'autres prés où il pourrait faire paître ses moutons, quand soudain un hélicoptère se pose devant lui dans un nuage de poussière. En sort un vieil homme en complet sombre, accompagné d'un jeune homme avec des chaussures à faire pâlir Roland Dumas, et de 6 gardes du corps avec costume et oreillette.
Le vieil homme dit à Ehlem : « Vous ne gérez pas bien vos moutons. Je prends votre place. Je vais m'occuper d'eux ».
Sidéré, Ehlem voit alors une rutilante Range Rover monter la colline dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani,chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au berger :
-- Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Ehlem regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
-- Certainement.
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son téléphone cellulaire, navigue sur Internet, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région,ouvre une base de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes ; finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
-- Vous avez exactement 110 moutons dans votre troupeau.
-- C'est exact, dit Ehlem. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un.
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
-- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous mon mouton ?
-- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
-- Vous êtes énarque et vous faites des AUDITS , dit le berger
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé, vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais la réponse et, manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier.
-- Maintenant, rendez-moi mon chien !

Elhem voit ensuite arriver des camions dans lesquels le vieil homme sorti de l'hélicoptère fait monter les moutons. Etonné, il lui demande :
-- Que faites vous avec mon troupeau ?
-- Je les envoie paître dans des prés beaucoup plus grands à Lyon.
Quelques semaines passent. Ehlem apprend que 20 moutons sont morts dans les camions pendant le transfert, et que 30 autres n'ont pas supporté la nourriture trop riche de Lyon.

Ehlem s'approche alors du vieil homme qui est revenu, et lui dit :
-- Vous êtes énarque et vous travaillez pour l'ACAM, dit le berger.
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous arrivez pour vous occuper d'un troupeau qui va très bien, vous le décimez en le déplaçant dans un troupeau beaucoup plus grand et vous en êtes fier.
Maintenant, rendez moi ce qui reste de mon troupeau !

Ceci n'est qu'un conte... toute ressemblance avec la réalité ne peut être que fortuite et involontaire.

Le conte des bergers

Un berger des Landes – appelons le Ehlem – prenait bien soin de ses moutons depuis 2004, si bien que son troupeau était passé de 50 à 110 moutons en 5 ans. Il partageait depuis peu ses pâturages et sa bergerie avec un autre berger : Davitta. Celui-ci avait des moutons plus difficiles à élever et son troupeau avait un peu diminué ces dernières années, mais depuis que les deux bergers étaient ensemble, les choses allaient mieux et le troupeau de Davitta s'était stabilisé.
Ehlem était en train de surveiller son troupeau, réfléchissant à d'autres prés où il pourrait faire paître ses moutons, quand soudain un hélicoptère se pose devant lui dans un nuage de poussière. En sort un vieil homme en complet sombre, accompagné d'un jeune homme avec des chaussures à faire pâlir Roland Dumas, et de 6 gardes du corps avec costume et oreillette.
Le vieil homme dit à Ehlem : « Vous ne gérez pas bien vos moutons. Je prends votre place. Je vais m'occuper d'eux ».
Sidéré, Ehlem voit alors une rutilante Range Rover monter la colline dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani,chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au berger :
-- Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Ehlem regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
-- Certainement.
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son téléphone cellulaire, navigue sur Internet, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région,ouvre une base de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes ; finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
-- Vous avez exactement 110 moutons dans votre troupeau.
-- C'est exact, dit Ehlem. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un.
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
-- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous mon mouton ?
-- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
-- Vous êtes énarque et vous faites des AUDITS , dit le berger
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé, vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais la réponse et, manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier.
-- Maintenant, rendez-moi mon chien !

Elhem voit ensuite arriver des camions dans lesquels le vieil homme sorti de l'hélicoptère fait monter les moutons. Etonné, il lui demande :
-- Que faites vous avec mon troupeau ?
-- Je les envoie paître dans des prés beaucoup plus grands à Lyon.
Quelques semaines passent. Ehlem apprend que 20 moutons sont morts dans les camions pendant le transfert, et que 30 autres n'ont pas supporté la nourriture trop riche de Lyon.

Ehlem s'approche alors du vieil homme qui est revenu, et lui dit :
-- Vous êtes énarque et vous travaillez pour l'ACAM, dit le berger.
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous arrivez pour vous occuper d'un troupeau qui va très bien, vous le décimez en le déplaçant dans un troupeau beaucoup plus grand et vous en êtes fier.
Maintenant, rendez moi ce qui reste de mon troupeau !

Ceci n'est qu'un conte... toute ressemblance avec la réalité ne peut être que fortuite et involontaire.

Le conte des bergers

Un berger des Landes – appelons le Ehlem – prenait bien soin de ses moutons depuis 2004, si bien que son troupeau était passé de 50 à 110 moutons en 5 ans. Il partageait depuis peu ses pâturages et sa bergerie avec un autre berger : Davitta. Celui-ci avait des moutons plus difficiles à élever et son troupeau avait un peu diminué ces dernières années, mais depuis que les deux bergers étaient ensemble, les choses allaient mieux et le troupeau de Davitta s'était stabilisé.
Ehlem était en train de surveiller son troupeau, réfléchissant à d'autres prés où il pourrait faire paître ses moutons, quand soudain un hélicoptère se pose devant lui dans un nuage de poussière. En sort un vieil homme en complet sombre, accompagné d'un jeune homme avec des chaussures à faire pâlir Roland Dumas, et de 6 gardes du corps avec costume et oreillette.
Le vieil homme dit à Ehlem : « Vous ne gérez pas bien vos moutons. Je prends votre place. Je vais m'occuper d'eux ».
Sidéré, Ehlem voit alors une rutilante Range Rover monter la colline dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani,chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au berger :
-- Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Ehlem regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
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-- Vous avez exactement 110 moutons dans votre troupeau.
-- C'est exact, dit Ehlem. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un.
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
-- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous mon mouton ?
-- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
-- Vous êtes énarque et vous faites des AUDITS , dit le berger
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-- Maintenant, rendez-moi mon chien !

Elhem voit ensuite arriver des camions dans lesquels le vieil homme sorti de l'hélicoptère fait monter les moutons. Etonné, il lui demande :
-- Que faites vous avec mon troupeau ?
-- Je les envoie paître dans des prés beaucoup plus grands à Lyon.
Quelques semaines passent. Ehlem apprend que 20 moutons sont morts dans les camions pendant le transfert, et que 30 autres n'ont pas supporté la nourriture trop riche de Lyon.

Ehlem s'approche alors du vieil homme qui est revenu, et lui dit :
-- Vous êtes énarque et vous travaillez pour l'ACAM, dit le berger.
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous arrivez pour vous occuper d'un troupeau qui va très bien, vous le décimez en le déplaçant dans un troupeau beaucoup plus grand et vous en êtes fier.
Maintenant, rendez moi ce qui reste de mon troupeau !

Ceci n'est qu'un conte... toute ressemblance avec la réalité ne peut être que fortuite et involontaire.

Le conte des bergers

Un berger des Landes – appelons le Ehlem – prenait bien soin de ses moutons depuis 2004, si bien que son troupeau était passé de 50 à 110 moutons en 5 ans. Il partageait depuis peu ses pâturages et sa bergerie avec un autre berger : Davitta. Celui-ci avait des moutons plus difficiles à élever et son troupeau avait un peu diminué ces dernières années, mais depuis que les deux bergers étaient ensemble, les choses allaient mieux et le troupeau de Davitta s'était stabilisé.
Ehlem était en train de surveiller son troupeau, réfléchissant à d'autres prés où il pourrait faire paître ses moutons, quand soudain un hélicoptère se pose devant lui dans un nuage de poussière. En sort un vieil homme en complet sombre, accompagné d'un jeune homme avec des chaussures à faire pâlir Roland Dumas, et de 6 gardes du corps avec costume et oreillette.
Le vieil homme dit à Ehlem : « Vous ne gérez pas bien vos moutons. Je prends votre place. Je vais m'occuper d'eux ».
Sidéré, Ehlem voit alors une rutilante Range Rover monter la colline dans sa direction. Le chauffeur, un jeune homme dans un complet Armani,chaussures Gucci, verres fumés Ray Ban et cravate Hermès, se penche par la fenêtre et demande au berger :
-- Si je peux vous dire exactement combien de moutons il y a dans votre troupeau, m'en donnerez-vous un ?
Ehlem regarde le jeune homme, puis son troupeau broutant paisiblement et répond simplement :
-- Certainement.
L'homme gare sa voiture, ouvre son ordinateur portable, le branche à son téléphone cellulaire, navigue sur Internet, communique avec un système de navigation par satellite, balaie la région,ouvre une base de données et quelque trente fichiers Excel aux formules complexes ; finalement, il sort un rapport détaillé d'une dizaine de pages de son imprimante miniaturisée et s'adresse au berger en disant :
-- Vous avez exactement 110 moutons dans votre troupeau.
-- C'est exact, dit Ehlem. Et comme nous l'avions convenu, prenez-en un.
Il regarde le jeune homme faire son choix et expédier sa prise à l'arrière de son véhicule, puis il ajoute :
-- Si je devine avec précision ce que vous faites comme métier, me rendrez-vous mon mouton ?
-- Pourquoi pas ? répondit l'autre.
-- Vous êtes énarque et vous faites des AUDITS , dit le berger
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous débarquez ici alors que personne ne vous l'a demandé, vous voulez être payé pour avoir répondu à une question dont je connais la réponse et, manifestement, vous ne connaissez absolument rien à mon métier.
-- Maintenant, rendez-moi mon chien !

Elhem voit ensuite arriver des camions dans lesquels le vieil homme sorti de l'hélicoptère fait monter les moutons. Etonné, il lui demande :
-- Que faites vous avec mon troupeau ?
-- Je les envoie paître dans des prés beaucoup plus grands à Lyon.
Quelques semaines passent. Ehlem apprend que 20 moutons sont morts dans les camions pendant le transfert, et que 30 autres n'ont pas supporté la nourriture trop riche de Lyon.

Ehlem s'approche alors du vieil homme qui est revenu, et lui dit :
-- Vous êtes énarque et vous travaillez pour l'ACAM, dit le berger.
-- Vous avez parfaitement raison, comment avez-vous deviné ?
-- C'est facile : vous arrivez pour vous occuper d'un troupeau qui va très bien, vous le décimez en le déplaçant dans un troupeau beaucoup plus grand et vous en êtes fier.
Maintenant, rendez moi ce qui reste de mon troupeau !

Ceci n'est qu'un conte... toute ressemblance avec la réalité ne peut être que fortuite et involontaire.

lundi 28 décembre 2009

Les lutins du pere noel bonin prennent du galon

Il est né le divin.. organigramme !
Quel soulagement, le groupe va enfin pouvoir travailler dans la sérénité, il était temps !

Félicitation, donc, à l'essentiel des membres de la DUP pour leurs promotions, ces chers membres dont l'objectif principal est (était?) de défendre les intérêts des salariés de toutes les structures. Il semblerait qu'ils se soient bornés à défendre leur propre avenir.

La compétence est-elle le critère de sélection pour les nouvelles affectations ? c'est une autre histoire.
Par contre si l'objectif est de faire couler les 3 entités on ne s'y prendrait pas plus mal..

Les lutins du pere noel bonin prennent du galon

Il est né le divin.. organigramme !
Quel soulagement, le groupe va enfin pouvoir travailler dans la sérénité, il était temps !

Félicitation, donc, à l'essentiel des membres de la DUP pour leurs promotions, ces chers membres dont l'objectif principal est (était?) de défendre les intérêts des salariés de toutes les structures. Il semblerait qu'ils se soient bornés à défendre leur propre avenir.

La compétence est-elle le critère de sélection pour les nouvelles affectations ? c'est une autre histoire.
Par contre si l'objectif est de faire couler les 3 entités on ne s'y prendrait pas plus mal..

Les lutins du pere noel bonin prennent du galon

Il est né le divin.. organigramme !
Quel soulagement, le groupe va enfin pouvoir travailler dans la sérénité, il était temps !

Félicitation, donc, à l'essentiel des membres de la DUP pour leurs promotions, ces chers membres dont l'objectif principal est (était?) de défendre les intérêts des salariés de toutes les structures. Il semblerait qu'ils se soient bornés à défendre leur propre avenir.

La compétence est-elle le critère de sélection pour les nouvelles affectations ? c'est une autre histoire.
Par contre si l'objectif est de faire couler les 3 entités on ne s'y prendrait pas plus mal..

Les lutins du pere noel bonin prennent du galon

Il est né le divin.. organigramme !
Quel soulagement, le groupe va enfin pouvoir travailler dans la sérénité, il était temps !

Félicitation, donc, à l'essentiel des membres de la DUP pour leurs promotions, ces chers membres dont l'objectif principal est (était?) de défendre les intérêts des salariés de toutes les structures. Il semblerait qu'ils se soient bornés à défendre leur propre avenir.

La compétence est-elle le critère de sélection pour les nouvelles affectations ? c'est une autre histoire.
Par contre si l'objectif est de faire couler les 3 entités on ne s'y prendrait pas plus mal..

Les lutins du pere noel bonin prennent du galon

Il est né le divin.. organigramme !
Quel soulagement, le groupe va enfin pouvoir travailler dans la sérénité, il était temps !

Félicitation, donc, à l'essentiel des membres de la DUP pour leurs promotions, ces chers membres dont l'objectif principal est (était?) de défendre les intérêts des salariés de toutes les structures. Il semblerait qu'ils se soient bornés à défendre leur propre avenir.

La compétence est-elle le critère de sélection pour les nouvelles affectations ? c'est une autre histoire.
Par contre si l'objectif est de faire couler les 3 entités on ne s'y prendrait pas plus mal..

Les lutins du pere noel bonin prennent du galon

Il est né le divin.. organigramme !
Quel soulagement, le groupe va enfin pouvoir travailler dans la sérénité, il était temps !

Félicitation, donc, à l'essentiel des membres de la DUP pour leurs promotions, ces chers membres dont l'objectif principal est (était?) de défendre les intérêts des salariés de toutes les structures. Il semblerait qu'ils se soient bornés à défendre leur propre avenir.

La compétence est-elle le critère de sélection pour les nouvelles affectations ? c'est une autre histoire.
Par contre si l'objectif est de faire couler les 3 entités on ne s'y prendrait pas plus mal..

Les lutins du pere noel bonin prennent du galon

Il est né le divin.. organigramme !
Quel soulagement, le groupe va enfin pouvoir travailler dans la sérénité, il était temps !

Félicitation, donc, à l'essentiel des membres de la DUP pour leurs promotions, ces chers membres dont l'objectif principal est (était?) de défendre les intérêts des salariés de toutes les structures. Il semblerait qu'ils se soient bornés à défendre leur propre avenir.

La compétence est-elle le critère de sélection pour les nouvelles affectations ? c'est une autre histoire.
Par contre si l'objectif est de faire couler les 3 entités on ne s'y prendrait pas plus mal..

Les lutins du pere noel bonin prennent du galon

Il est né le divin.. organigramme !
Quel soulagement, le groupe va enfin pouvoir travailler dans la sérénité, il était temps !

Félicitation, donc, à l'essentiel des membres de la DUP pour leurs promotions, ces chers membres dont l'objectif principal est (était?) de défendre les intérêts des salariés de toutes les structures. Il semblerait qu'ils se soient bornés à défendre leur propre avenir.

La compétence est-elle le critère de sélection pour les nouvelles affectations ? c'est une autre histoire.
Par contre si l'objectif est de faire couler les 3 entités on ne s'y prendrait pas plus mal..

Les lutins du pere noel bonin prennent du galon

Il est né le divin.. organigramme !
Quel soulagement, le groupe va enfin pouvoir travailler dans la sérénité, il était temps !

Félicitation, donc, à l'essentiel des membres de la DUP pour leurs promotions, ces chers membres dont l'objectif principal est (était?) de défendre les intérêts des salariés de toutes les structures. Il semblerait qu'ils se soient bornés à défendre leur propre avenir.

La compétence est-elle le critère de sélection pour les nouvelles affectations ? c'est une autre histoire.
Par contre si l'objectif est de faire couler les 3 entités on ne s'y prendrait pas plus mal..

Les lutins du pere noel bonin prennent du galon

Il est né le divin.. organigramme !
Quel soulagement, le groupe va enfin pouvoir travailler dans la sérénité, il était temps !

Félicitation, donc, à l'essentiel des membres de la DUP pour leurs promotions, ces chers membres dont l'objectif principal est (était?) de défendre les intérêts des salariés de toutes les structures. Il semblerait qu'ils se soient bornés à défendre leur propre avenir.

La compétence est-elle le critère de sélection pour les nouvelles affectations ? c'est une autre histoire.
Par contre si l'objectif est de faire couler les 3 entités on ne s'y prendrait pas plus mal..

vendredi 18 décembre 2009

Tombe la neige ... et les masques !

Jeudi 17 Décembre 2009 s'est déroulé la DUP (délégation unique du personnel) dans laquelle nous attendions beaucoup de réponses et de laquelle nous ressortons avec autant, sinon plus de questions qu'en entrant.
La direction provisoire n'a pas parlé des résultats (même partiels) --- qui a dit partial ? --- des audits.
Elle n'a pas parlé de la situation financière des 3 structures. Nous savons juste que Vittavi n'est plus en cessation de paiement jusqu'au 25/01/2010.
Elle n'a pas parlé du plan de redressement de Vittavi (point 3 de l'ordre du jour) : c'est vrai que c'est un sujet qui pourrait fâcher... oulah !
Elle n'a répondu qu'à quelques unes des nombreuses questions posées par les salariés.

Concernant ce qui s'est passé mardi soir chez Myriade : Myriade nous ferait cadeau d'un "montage financier" de 1,5M€ juste pour nos beaux yeux, comme ça. Pourtant Myriade ne ressemble pas à une association caritative !....

Et personne ne pose de questions, c'est étonnant...
Mais peut-être pas si étonnant que cela.
Car voici l'organigramme "provisoire", et ses étranges "promotions"...
Oui, mes amis, Johnny peut nous prêter une de ses chansons ce soir :

Je ne suis qu'un homme
Quand elle me voit roi
Pour ces jours qui fondent
Qu'elle ne compte pas
Oh juste un homme
De peur et de froid
Quand le masque tombe
Quand tout se voit


Eh oui car nous commençons à voir ce qui se cache derrière cette passivité de certains de nos "représentants" du personnel, et derrière cette confiance aveugle qu'ils(elles) portent à notre administrateur provisoire.
Oui, les masques commencent à tomber même si quelques un(e)s continuent d'avancer à couvert.
Mais les démasqués et ceux qui ne le sont pas encore pourraient bien finir par se retrouver très seuls, face à tous ceux qui ont maintenant les yeux et les oreilles biens ouverts et qui constatent qu'une fois de plus la direction provisoire nous a mené en bateau, voire en paquebot !
Le manque de communication ne fait pas que générer des craintes et de la méfiance, il finit par créer aussi de la détermination et de la colère.

Messieurs les "provisoires", arrêtez de nous prendre pour des idiots !

Tombe la neige ... et les masques !

Jeudi 17 Décembre 2009 s'est déroulé la DUP (délégation unique du personnel) dans laquelle nous attendions beaucoup de réponses et de laquelle nous ressortons avec autant, sinon plus de questions qu'en entrant.
La direction provisoire n'a pas parlé des résultats (même partiels) --- qui a dit partial ? --- des audits.
Elle n'a pas parlé de la situation financière des 3 structures. Nous savons juste que Vittavi n'est plus en cessation de paiement jusqu'au 25/01/2010.
Elle n'a pas parlé du plan de redressement de Vittavi (point 3 de l'ordre du jour) : c'est vrai que c'est un sujet qui pourrait fâcher... oulah !
Elle n'a répondu qu'à quelques unes des nombreuses questions posées par les salariés.

Concernant ce qui s'est passé mardi soir chez Myriade : Myriade nous ferait cadeau d'un "montage financier" de 1,5M€ juste pour nos beaux yeux, comme ça. Pourtant Myriade ne ressemble pas à une association caritative !....

Et personne ne pose de questions, c'est étonnant...
Mais peut-être pas si étonnant que cela.
Car voici l'organigramme "provisoire", et ses étranges "promotions"...
Oui, mes amis, Johnny peut nous prêter une de ses chansons ce soir :

Je ne suis qu'un homme
Quand elle me voit roi
Pour ces jours qui fondent
Qu'elle ne compte pas
Oh juste un homme
De peur et de froid
Quand le masque tombe
Quand tout se voit


Eh oui car nous commençons à voir ce qui se cache derrière cette passivité de certains de nos "représentants" du personnel, et derrière cette confiance aveugle qu'ils(elles) portent à notre administrateur provisoire.
Oui, les masques commencent à tomber même si quelques un(e)s continuent d'avancer à couvert.
Mais les démasqués et ceux qui ne le sont pas encore pourraient bien finir par se retrouver très seuls, face à tous ceux qui ont maintenant les yeux et les oreilles biens ouverts et qui constatent qu'une fois de plus la direction provisoire nous a mené en bateau, voire en paquebot !
Le manque de communication ne fait pas que générer des craintes et de la méfiance, il finit par créer aussi de la détermination et de la colère.

Messieurs les "provisoires", arrêtez de nous prendre pour des idiots !

Tombe la neige ... et les masques !

Jeudi 17 Décembre 2009 s'est déroulé la DUP (délégation unique du personnel) dans laquelle nous attendions beaucoup de réponses et de laquelle nous ressortons avec autant, sinon plus de questions qu'en entrant.
La direction provisoire n'a pas parlé des résultats (même partiels) --- qui a dit partial ? --- des audits.
Elle n'a pas parlé de la situation financière des 3 structures. Nous savons juste que Vittavi n'est plus en cessation de paiement jusqu'au 25/01/2010.
Elle n'a pas parlé du plan de redressement de Vittavi (point 3 de l'ordre du jour) : c'est vrai que c'est un sujet qui pourrait fâcher... oulah !
Elle n'a répondu qu'à quelques unes des nombreuses questions posées par les salariés.

Concernant ce qui s'est passé mardi soir chez Myriade : Myriade nous ferait cadeau d'un "montage financier" de 1,5M€ juste pour nos beaux yeux, comme ça. Pourtant Myriade ne ressemble pas à une association caritative !....

Et personne ne pose de questions, c'est étonnant...
Mais peut-être pas si étonnant que cela.
Car voici l'organigramme "provisoire", et ses étranges "promotions"...
Oui, mes amis, Johnny peut nous prêter une de ses chansons ce soir :

Je ne suis qu'un homme
Quand elle me voit roi
Pour ces jours qui fondent
Qu'elle ne compte pas
Oh juste un homme
De peur et de froid
Quand le masque tombe
Quand tout se voit


Eh oui car nous commençons à voir ce qui se cache derrière cette passivité de certains de nos "représentants" du personnel, et derrière cette confiance aveugle qu'ils(elles) portent à notre administrateur provisoire.
Oui, les masques commencent à tomber même si quelques un(e)s continuent d'avancer à couvert.
Mais les démasqués et ceux qui ne le sont pas encore pourraient bien finir par se retrouver très seuls, face à tous ceux qui ont maintenant les yeux et les oreilles biens ouverts et qui constatent qu'une fois de plus la direction provisoire nous a mené en bateau, voire en paquebot !
Le manque de communication ne fait pas que générer des craintes et de la méfiance, il finit par créer aussi de la détermination et de la colère.

Messieurs les "provisoires", arrêtez de nous prendre pour des idiots !

Tombe la neige ... et les masques !

Jeudi 17 Décembre 2009 s'est déroulé la DUP (délégation unique du personnel) dans laquelle nous attendions beaucoup de réponses et de laquelle nous ressortons avec autant, sinon plus de questions qu'en entrant.
La direction provisoire n'a pas parlé des résultats (même partiels) --- qui a dit partial ? --- des audits.
Elle n'a pas parlé de la situation financière des 3 structures. Nous savons juste que Vittavi n'est plus en cessation de paiement jusqu'au 25/01/2010.
Elle n'a pas parlé du plan de redressement de Vittavi (point 3 de l'ordre du jour) : c'est vrai que c'est un sujet qui pourrait fâcher... oulah !
Elle n'a répondu qu'à quelques unes des nombreuses questions posées par les salariés.

Concernant ce qui s'est passé mardi soir chez Myriade : Myriade nous ferait cadeau d'un "montage financier" de 1,5M€ juste pour nos beaux yeux, comme ça. Pourtant Myriade ne ressemble pas à une association caritative !....

Et personne ne pose de questions, c'est étonnant...
Mais peut-être pas si étonnant que cela.
Car voici l'organigramme "provisoire", et ses étranges "promotions"...
Oui, mes amis, Johnny peut nous prêter une de ses chansons ce soir :

Je ne suis qu'un homme
Quand elle me voit roi
Pour ces jours qui fondent
Qu'elle ne compte pas
Oh juste un homme
De peur et de froid
Quand le masque tombe
Quand tout se voit


Eh oui car nous commençons à voir ce qui se cache derrière cette passivité de certains de nos "représentants" du personnel, et derrière cette confiance aveugle qu'ils(elles) portent à notre administrateur provisoire.
Oui, les masques commencent à tomber même si quelques un(e)s continuent d'avancer à couvert.
Mais les démasqués et ceux qui ne le sont pas encore pourraient bien finir par se retrouver très seuls, face à tous ceux qui ont maintenant les yeux et les oreilles biens ouverts et qui constatent qu'une fois de plus la direction provisoire nous a mené en bateau, voire en paquebot !
Le manque de communication ne fait pas que générer des craintes et de la méfiance, il finit par créer aussi de la détermination et de la colère.

Messieurs les "provisoires", arrêtez de nous prendre pour des idiots !

Tombe la neige ... et les masques !

Jeudi 17 Décembre 2009 s'est déroulé la DUP (délégation unique du personnel) dans laquelle nous attendions beaucoup de réponses et de laquelle nous ressortons avec autant, sinon plus de questions qu'en entrant.
La direction provisoire n'a pas parlé des résultats (même partiels) --- qui a dit partial ? --- des audits.
Elle n'a pas parlé de la situation financière des 3 structures. Nous savons juste que Vittavi n'est plus en cessation de paiement jusqu'au 25/01/2010.
Elle n'a pas parlé du plan de redressement de Vittavi (point 3 de l'ordre du jour) : c'est vrai que c'est un sujet qui pourrait fâcher... oulah !
Elle n'a répondu qu'à quelques unes des nombreuses questions posées par les salariés.

Concernant ce qui s'est passé mardi soir chez Myriade : Myriade nous ferait cadeau d'un "montage financier" de 1,5M€ juste pour nos beaux yeux, comme ça. Pourtant Myriade ne ressemble pas à une association caritative !....

Et personne ne pose de questions, c'est étonnant...
Mais peut-être pas si étonnant que cela.
Car voici l'organigramme "provisoire", et ses étranges "promotions"...
Oui, mes amis, Johnny peut nous prêter une de ses chansons ce soir :

Je ne suis qu'un homme
Quand elle me voit roi
Pour ces jours qui fondent
Qu'elle ne compte pas
Oh juste un homme
De peur et de froid
Quand le masque tombe
Quand tout se voit


Eh oui car nous commençons à voir ce qui se cache derrière cette passivité de certains de nos "représentants" du personnel, et derrière cette confiance aveugle qu'ils(elles) portent à notre administrateur provisoire.
Oui, les masques commencent à tomber même si quelques un(e)s continuent d'avancer à couvert.
Mais les démasqués et ceux qui ne le sont pas encore pourraient bien finir par se retrouver très seuls, face à tous ceux qui ont maintenant les yeux et les oreilles biens ouverts et qui constatent qu'une fois de plus la direction provisoire nous a mené en bateau, voire en paquebot !
Le manque de communication ne fait pas que générer des craintes et de la méfiance, il finit par créer aussi de la détermination et de la colère.

Messieurs les "provisoires", arrêtez de nous prendre pour des idiots !

Tombe la neige ... et les masques !

Jeudi 17 Décembre 2009 s'est déroulé la DUP (délégation unique du personnel) dans laquelle nous attendions beaucoup de réponses et de laquelle nous ressortons avec autant, sinon plus de questions qu'en entrant.
La direction provisoire n'a pas parlé des résultats (même partiels) --- qui a dit partial ? --- des audits.
Elle n'a pas parlé de la situation financière des 3 structures. Nous savons juste que Vittavi n'est plus en cessation de paiement jusqu'au 25/01/2010.
Elle n'a pas parlé du plan de redressement de Vittavi (point 3 de l'ordre du jour) : c'est vrai que c'est un sujet qui pourrait fâcher... oulah !
Elle n'a répondu qu'à quelques unes des nombreuses questions posées par les salariés.

Concernant ce qui s'est passé mardi soir chez Myriade : Myriade nous ferait cadeau d'un "montage financier" de 1,5M€ juste pour nos beaux yeux, comme ça. Pourtant Myriade ne ressemble pas à une association caritative !....

Et personne ne pose de questions, c'est étonnant...
Mais peut-être pas si étonnant que cela.
Car voici l'organigramme "provisoire", et ses étranges "promotions"...
Oui, mes amis, Johnny peut nous prêter une de ses chansons ce soir :

Je ne suis qu'un homme
Quand elle me voit roi
Pour ces jours qui fondent
Qu'elle ne compte pas
Oh juste un homme
De peur et de froid
Quand le masque tombe
Quand tout se voit


Eh oui car nous commençons à voir ce qui se cache derrière cette passivité de certains de nos "représentants" du personnel, et derrière cette confiance aveugle qu'ils(elles) portent à notre administrateur provisoire.
Oui, les masques commencent à tomber même si quelques un(e)s continuent d'avancer à couvert.
Mais les démasqués et ceux qui ne le sont pas encore pourraient bien finir par se retrouver très seuls, face à tous ceux qui ont maintenant les yeux et les oreilles biens ouverts et qui constatent qu'une fois de plus la direction provisoire nous a mené en bateau, voire en paquebot !
Le manque de communication ne fait pas que générer des craintes et de la méfiance, il finit par créer aussi de la détermination et de la colère.

Messieurs les "provisoires", arrêtez de nous prendre pour des idiots !

Tombe la neige ... et les masques !

Jeudi 17 Décembre 2009 s'est déroulé la DUP (délégation unique du personnel) dans laquelle nous attendions beaucoup de réponses et de laquelle nous ressortons avec autant, sinon plus de questions qu'en entrant.
La direction provisoire n'a pas parlé des résultats (même partiels) --- qui a dit partial ? --- des audits.
Elle n'a pas parlé de la situation financière des 3 structures. Nous savons juste que Vittavi n'est plus en cessation de paiement jusqu'au 25/01/2010.
Elle n'a pas parlé du plan de redressement de Vittavi (point 3 de l'ordre du jour) : c'est vrai que c'est un sujet qui pourrait fâcher... oulah !
Elle n'a répondu qu'à quelques unes des nombreuses questions posées par les salariés.

Concernant ce qui s'est passé mardi soir chez Myriade : Myriade nous ferait cadeau d'un "montage financier" de 1,5M€ juste pour nos beaux yeux, comme ça. Pourtant Myriade ne ressemble pas à une association caritative !....

Et personne ne pose de questions, c'est étonnant...
Mais peut-être pas si étonnant que cela.
Car voici l'organigramme "provisoire", et ses étranges "promotions"...
Oui, mes amis, Johnny peut nous prêter une de ses chansons ce soir :

Je ne suis qu'un homme
Quand elle me voit roi
Pour ces jours qui fondent
Qu'elle ne compte pas
Oh juste un homme
De peur et de froid
Quand le masque tombe
Quand tout se voit


Eh oui car nous commençons à voir ce qui se cache derrière cette passivité de certains de nos "représentants" du personnel, et derrière cette confiance aveugle qu'ils(elles) portent à notre administrateur provisoire.
Oui, les masques commencent à tomber même si quelques un(e)s continuent d'avancer à couvert.
Mais les démasqués et ceux qui ne le sont pas encore pourraient bien finir par se retrouver très seuls, face à tous ceux qui ont maintenant les yeux et les oreilles biens ouverts et qui constatent qu'une fois de plus la direction provisoire nous a mené en bateau, voire en paquebot !
Le manque de communication ne fait pas que générer des craintes et de la méfiance, il finit par créer aussi de la détermination et de la colère.

Messieurs les "provisoires", arrêtez de nous prendre pour des idiots !

Tombe la neige ... et les masques !

Jeudi 17 Décembre 2009 s'est déroulé la DUP (délégation unique du personnel) dans laquelle nous attendions beaucoup de réponses et de laquelle nous ressortons avec autant, sinon plus de questions qu'en entrant.
La direction provisoire n'a pas parlé des résultats (même partiels) --- qui a dit partial ? --- des audits.
Elle n'a pas parlé de la situation financière des 3 structures. Nous savons juste que Vittavi n'est plus en cessation de paiement jusqu'au 25/01/2010.
Elle n'a pas parlé du plan de redressement de Vittavi (point 3 de l'ordre du jour) : c'est vrai que c'est un sujet qui pourrait fâcher... oulah !
Elle n'a répondu qu'à quelques unes des nombreuses questions posées par les salariés.

Concernant ce qui s'est passé mardi soir chez Myriade : Myriade nous ferait cadeau d'un "montage financier" de 1,5M€ juste pour nos beaux yeux, comme ça. Pourtant Myriade ne ressemble pas à une association caritative !....

Et personne ne pose de questions, c'est étonnant...
Mais peut-être pas si étonnant que cela.
Car voici l'organigramme "provisoire", et ses étranges "promotions"...
Oui, mes amis, Johnny peut nous prêter une de ses chansons ce soir :

Je ne suis qu'un homme
Quand elle me voit roi
Pour ces jours qui fondent
Qu'elle ne compte pas
Oh juste un homme
De peur et de froid
Quand le masque tombe
Quand tout se voit


Eh oui car nous commençons à voir ce qui se cache derrière cette passivité de certains de nos "représentants" du personnel, et derrière cette confiance aveugle qu'ils(elles) portent à notre administrateur provisoire.
Oui, les masques commencent à tomber même si quelques un(e)s continuent d'avancer à couvert.
Mais les démasqués et ceux qui ne le sont pas encore pourraient bien finir par se retrouver très seuls, face à tous ceux qui ont maintenant les yeux et les oreilles biens ouverts et qui constatent qu'une fois de plus la direction provisoire nous a mené en bateau, voire en paquebot !
Le manque de communication ne fait pas que générer des craintes et de la méfiance, il finit par créer aussi de la détermination et de la colère.

Messieurs les "provisoires", arrêtez de nous prendre pour des idiots !

Tombe la neige ... et les masques !

Jeudi 17 Décembre 2009 s'est déroulé la DUP (délégation unique du personnel) dans laquelle nous attendions beaucoup de réponses et de laquelle nous ressortons avec autant, sinon plus de questions qu'en entrant.
La direction provisoire n'a pas parlé des résultats (même partiels) --- qui a dit partial ? --- des audits.
Elle n'a pas parlé de la situation financière des 3 structures. Nous savons juste que Vittavi n'est plus en cessation de paiement jusqu'au 25/01/2010.
Elle n'a pas parlé du plan de redressement de Vittavi (point 3 de l'ordre du jour) : c'est vrai que c'est un sujet qui pourrait fâcher... oulah !
Elle n'a répondu qu'à quelques unes des nombreuses questions posées par les salariés.

Concernant ce qui s'est passé mardi soir chez Myriade : Myriade nous ferait cadeau d'un "montage financier" de 1,5M€ juste pour nos beaux yeux, comme ça. Pourtant Myriade ne ressemble pas à une association caritative !....

Et personne ne pose de questions, c'est étonnant...
Mais peut-être pas si étonnant que cela.
Car voici l'organigramme "provisoire", et ses étranges "promotions"...
Oui, mes amis, Johnny peut nous prêter une de ses chansons ce soir :

Je ne suis qu'un homme
Quand elle me voit roi
Pour ces jours qui fondent
Qu'elle ne compte pas
Oh juste un homme
De peur et de froid
Quand le masque tombe
Quand tout se voit


Eh oui car nous commençons à voir ce qui se cache derrière cette passivité de certains de nos "représentants" du personnel, et derrière cette confiance aveugle qu'ils(elles) portent à notre administrateur provisoire.
Oui, les masques commencent à tomber même si quelques un(e)s continuent d'avancer à couvert.
Mais les démasqués et ceux qui ne le sont pas encore pourraient bien finir par se retrouver très seuls, face à tous ceux qui ont maintenant les yeux et les oreilles biens ouverts et qui constatent qu'une fois de plus la direction provisoire nous a mené en bateau, voire en paquebot !
Le manque de communication ne fait pas que générer des craintes et de la méfiance, il finit par créer aussi de la détermination et de la colère.

Messieurs les "provisoires", arrêtez de nous prendre pour des idiots !

Tombe la neige ... et les masques !

Jeudi 17 Décembre 2009 s'est déroulé la DUP (délégation unique du personnel) dans laquelle nous attendions beaucoup de réponses et de laquelle nous ressortons avec autant, sinon plus de questions qu'en entrant.
La direction provisoire n'a pas parlé des résultats (même partiels) --- qui a dit partial ? --- des audits.
Elle n'a pas parlé de la situation financière des 3 structures. Nous savons juste que Vittavi n'est plus en cessation de paiement jusqu'au 25/01/2010.
Elle n'a pas parlé du plan de redressement de Vittavi (point 3 de l'ordre du jour) : c'est vrai que c'est un sujet qui pourrait fâcher... oulah !
Elle n'a répondu qu'à quelques unes des nombreuses questions posées par les salariés.

Concernant ce qui s'est passé mardi soir chez Myriade : Myriade nous ferait cadeau d'un "montage financier" de 1,5M€ juste pour nos beaux yeux, comme ça. Pourtant Myriade ne ressemble pas à une association caritative !....

Et personne ne pose de questions, c'est étonnant...
Mais peut-être pas si étonnant que cela.
Car voici l'organigramme "provisoire", et ses étranges "promotions"...
Oui, mes amis, Johnny peut nous prêter une de ses chansons ce soir :

Je ne suis qu'un homme
Quand elle me voit roi
Pour ces jours qui fondent
Qu'elle ne compte pas
Oh juste un homme
De peur et de froid
Quand le masque tombe
Quand tout se voit


Eh oui car nous commençons à voir ce qui se cache derrière cette passivité de certains de nos "représentants" du personnel, et derrière cette confiance aveugle qu'ils(elles) portent à notre administrateur provisoire.
Oui, les masques commencent à tomber même si quelques un(e)s continuent d'avancer à couvert.
Mais les démasqués et ceux qui ne le sont pas encore pourraient bien finir par se retrouver très seuls, face à tous ceux qui ont maintenant les yeux et les oreilles biens ouverts et qui constatent qu'une fois de plus la direction provisoire nous a mené en bateau, voire en paquebot !
Le manque de communication ne fait pas que générer des craintes et de la méfiance, il finit par créer aussi de la détermination et de la colère.

Messieurs les "provisoires", arrêtez de nous prendre pour des idiots !

« Nous voulons savoir » Extrait Sud-Ouest du 18/12/2009

GVM/LANDES MUTUALITÉ. La réunion du CE organisée hier à Toulouse n'a débouché sur
aucune avancée. FO et la CFDT appellent à des débrayages aujourd'hui


Ce devait être une réunion cruciale : celle qui aurait permis aux salariés du Groupe Vittavi mutualité (1)
de savoir enfin ce qui se trame dans leur dos. À l'ordre du jour de la réunion des délégués du
personnel et du comité d'entreprise, organisée hier à Toulouse, pas moins de dix-sept points. Dont de
très importants : les résultats des différents audits ordonnés depuis le placement sous administration
provisoire des trois structures Vittavi, GVM et Landes Mutualité par l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles ; le plan de redressement de Vittavi qui affiche un trou de 2 millions d'euros à la fin de l'exercice 2009 ; et surtout, l'état d'un approchement avec une autre mutuelle.

« Mais il n'en est pas ressorti grand-chose, se désole Eric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à
GVM. L'ordre du jour a été éludé, l'administrateur provisoire (Philippe Bonin, NDLR) ne donnant que très
peu d'informations et n'éclairant absolument pas les délégués du personnel sur notre devenir. Pourquoi
n'a-t-on aucune réponse à nos questions légitimes ? Nous voulons savoir », déclare le syndicaliste.

L'Acam ralentit la cadence
Ainsi l'administrateur provisoire n'aurait pas communiqué les conclusions des audits car ceux-ci n'ont
pas encore été débattus devant l'Acam. Et pour cause, ils auraient dû lui être présentés en début de
semaine, à l'occasion d'une audition visant à faire le point sur le placement sous tutelle de Landes
Mutualité. Autrement dit, à le confirmer ou à l'infirmer. Mais cette réunion a finalement été renvoyée, les
avocats de l'équipe dirigeante suspendue ayant eu gain de cause après avoir soulevé un vice de
procédure pour « non-respect du contradictoire ». L'autorité de contrôle, que d'aucuns accusaient de
précipitation dans cette affaire et de tentative de passage en force, a donc choisi de ralentir sa cadence.

Autres points sur lesquels les représentants des 225 salariés de GVM n'ont obtenu aucun détail : le plan
de redressement de Vittavi et l'entrée en scène d'une autre mutuelle pour y participer. D'après Force
ouvrière et la CFDT, mardi, le conseil d'administration de la mutuelle girondine Myriade aurait donné son
accord pour se substituer à Vittavi. Une information que nous avons tenté de vérifier hier auprès de la
direction générale de la mutuelle, dont le siège est à Bordeaux. Mais personne ne nous a jamais
rappelés... Une constante depuis le début des soucis à GVM. La communication de crise ne paraît guère
une spécialité dans le monde feutré de la mutualité.

Inquiets mais déterminés
Un manque de communication dénoncé par deux syndicats de GVM, Force Ouvrière et la CFDT qui
craignent les risques que ferait peser sur les emplois un rapprochement avec une mutuelle directement
concurrente. Raison pour laquelle ils ont tous deux déposé des préavis de grève pour aujourd'hui,
appelant les salariés à débrayer pendant une à deux heures. Un rassemblement doit se tenir à partir de
11 heures devant le siège de Landes Mutualité, à Mont-de-Marsan. « Nous sommes inquiets mais
déterminés », prévient Eric Onselaer.

(1) L'union technique entre Landes Mutualité et la mutuelle étudiante toulousaine. Son siège social est à
Toulouse et son siège administratif à Mont-de-Marsan


Auteur : élisa artigue-cazcarra

« Nous voulons savoir » Extrait Sud-Ouest du 18/12/2009

GVM/LANDES MUTUALITÉ. La réunion du CE organisée hier à Toulouse n'a débouché sur
aucune avancée. FO et la CFDT appellent à des débrayages aujourd'hui


Ce devait être une réunion cruciale : celle qui aurait permis aux salariés du Groupe Vittavi mutualité (1)
de savoir enfin ce qui se trame dans leur dos. À l'ordre du jour de la réunion des délégués du
personnel et du comité d'entreprise, organisée hier à Toulouse, pas moins de dix-sept points. Dont de
très importants : les résultats des différents audits ordonnés depuis le placement sous administration
provisoire des trois structures Vittavi, GVM et Landes Mutualité par l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles ; le plan de redressement de Vittavi qui affiche un trou de 2 millions d'euros à la fin de l'exercice 2009 ; et surtout, l'état d'un approchement avec une autre mutuelle.

« Mais il n'en est pas ressorti grand-chose, se désole Eric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à
GVM. L'ordre du jour a été éludé, l'administrateur provisoire (Philippe Bonin, NDLR) ne donnant que très
peu d'informations et n'éclairant absolument pas les délégués du personnel sur notre devenir. Pourquoi
n'a-t-on aucune réponse à nos questions légitimes ? Nous voulons savoir », déclare le syndicaliste.

L'Acam ralentit la cadence
Ainsi l'administrateur provisoire n'aurait pas communiqué les conclusions des audits car ceux-ci n'ont
pas encore été débattus devant l'Acam. Et pour cause, ils auraient dû lui être présentés en début de
semaine, à l'occasion d'une audition visant à faire le point sur le placement sous tutelle de Landes
Mutualité. Autrement dit, à le confirmer ou à l'infirmer. Mais cette réunion a finalement été renvoyée, les
avocats de l'équipe dirigeante suspendue ayant eu gain de cause après avoir soulevé un vice de
procédure pour « non-respect du contradictoire ». L'autorité de contrôle, que d'aucuns accusaient de
précipitation dans cette affaire et de tentative de passage en force, a donc choisi de ralentir sa cadence.

Autres points sur lesquels les représentants des 225 salariés de GVM n'ont obtenu aucun détail : le plan
de redressement de Vittavi et l'entrée en scène d'une autre mutuelle pour y participer. D'après Force
ouvrière et la CFDT, mardi, le conseil d'administration de la mutuelle girondine Myriade aurait donné son
accord pour se substituer à Vittavi. Une information que nous avons tenté de vérifier hier auprès de la
direction générale de la mutuelle, dont le siège est à Bordeaux. Mais personne ne nous a jamais
rappelés... Une constante depuis le début des soucis à GVM. La communication de crise ne paraît guère
une spécialité dans le monde feutré de la mutualité.

Inquiets mais déterminés
Un manque de communication dénoncé par deux syndicats de GVM, Force Ouvrière et la CFDT qui
craignent les risques que ferait peser sur les emplois un rapprochement avec une mutuelle directement
concurrente. Raison pour laquelle ils ont tous deux déposé des préavis de grève pour aujourd'hui,
appelant les salariés à débrayer pendant une à deux heures. Un rassemblement doit se tenir à partir de
11 heures devant le siège de Landes Mutualité, à Mont-de-Marsan. « Nous sommes inquiets mais
déterminés », prévient Eric Onselaer.

(1) L'union technique entre Landes Mutualité et la mutuelle étudiante toulousaine. Son siège social est à
Toulouse et son siège administratif à Mont-de-Marsan


Auteur : élisa artigue-cazcarra

« Nous voulons savoir » Extrait Sud-Ouest du 18/12/2009

GVM/LANDES MUTUALITÉ. La réunion du CE organisée hier à Toulouse n'a débouché sur
aucune avancée. FO et la CFDT appellent à des débrayages aujourd'hui


Ce devait être une réunion cruciale : celle qui aurait permis aux salariés du Groupe Vittavi mutualité (1)
de savoir enfin ce qui se trame dans leur dos. À l'ordre du jour de la réunion des délégués du
personnel et du comité d'entreprise, organisée hier à Toulouse, pas moins de dix-sept points. Dont de
très importants : les résultats des différents audits ordonnés depuis le placement sous administration
provisoire des trois structures Vittavi, GVM et Landes Mutualité par l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles ; le plan de redressement de Vittavi qui affiche un trou de 2 millions d'euros à la fin de l'exercice 2009 ; et surtout, l'état d'un approchement avec une autre mutuelle.

« Mais il n'en est pas ressorti grand-chose, se désole Eric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à
GVM. L'ordre du jour a été éludé, l'administrateur provisoire (Philippe Bonin, NDLR) ne donnant que très
peu d'informations et n'éclairant absolument pas les délégués du personnel sur notre devenir. Pourquoi
n'a-t-on aucune réponse à nos questions légitimes ? Nous voulons savoir », déclare le syndicaliste.

L'Acam ralentit la cadence
Ainsi l'administrateur provisoire n'aurait pas communiqué les conclusions des audits car ceux-ci n'ont
pas encore été débattus devant l'Acam. Et pour cause, ils auraient dû lui être présentés en début de
semaine, à l'occasion d'une audition visant à faire le point sur le placement sous tutelle de Landes
Mutualité. Autrement dit, à le confirmer ou à l'infirmer. Mais cette réunion a finalement été renvoyée, les
avocats de l'équipe dirigeante suspendue ayant eu gain de cause après avoir soulevé un vice de
procédure pour « non-respect du contradictoire ». L'autorité de contrôle, que d'aucuns accusaient de
précipitation dans cette affaire et de tentative de passage en force, a donc choisi de ralentir sa cadence.

Autres points sur lesquels les représentants des 225 salariés de GVM n'ont obtenu aucun détail : le plan
de redressement de Vittavi et l'entrée en scène d'une autre mutuelle pour y participer. D'après Force
ouvrière et la CFDT, mardi, le conseil d'administration de la mutuelle girondine Myriade aurait donné son
accord pour se substituer à Vittavi. Une information que nous avons tenté de vérifier hier auprès de la
direction générale de la mutuelle, dont le siège est à Bordeaux. Mais personne ne nous a jamais
rappelés... Une constante depuis le début des soucis à GVM. La communication de crise ne paraît guère
une spécialité dans le monde feutré de la mutualité.

Inquiets mais déterminés
Un manque de communication dénoncé par deux syndicats de GVM, Force Ouvrière et la CFDT qui
craignent les risques que ferait peser sur les emplois un rapprochement avec une mutuelle directement
concurrente. Raison pour laquelle ils ont tous deux déposé des préavis de grève pour aujourd'hui,
appelant les salariés à débrayer pendant une à deux heures. Un rassemblement doit se tenir à partir de
11 heures devant le siège de Landes Mutualité, à Mont-de-Marsan. « Nous sommes inquiets mais
déterminés », prévient Eric Onselaer.

(1) L'union technique entre Landes Mutualité et la mutuelle étudiante toulousaine. Son siège social est à
Toulouse et son siège administratif à Mont-de-Marsan


Auteur : élisa artigue-cazcarra

« Nous voulons savoir » Extrait Sud-Ouest du 18/12/2009

GVM/LANDES MUTUALITÉ. La réunion du CE organisée hier à Toulouse n'a débouché sur
aucune avancée. FO et la CFDT appellent à des débrayages aujourd'hui


Ce devait être une réunion cruciale : celle qui aurait permis aux salariés du Groupe Vittavi mutualité (1)
de savoir enfin ce qui se trame dans leur dos. À l'ordre du jour de la réunion des délégués du
personnel et du comité d'entreprise, organisée hier à Toulouse, pas moins de dix-sept points. Dont de
très importants : les résultats des différents audits ordonnés depuis le placement sous administration
provisoire des trois structures Vittavi, GVM et Landes Mutualité par l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles ; le plan de redressement de Vittavi qui affiche un trou de 2 millions d'euros à la fin de l'exercice 2009 ; et surtout, l'état d'un approchement avec une autre mutuelle.

« Mais il n'en est pas ressorti grand-chose, se désole Eric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à
GVM. L'ordre du jour a été éludé, l'administrateur provisoire (Philippe Bonin, NDLR) ne donnant que très
peu d'informations et n'éclairant absolument pas les délégués du personnel sur notre devenir. Pourquoi
n'a-t-on aucune réponse à nos questions légitimes ? Nous voulons savoir », déclare le syndicaliste.

L'Acam ralentit la cadence
Ainsi l'administrateur provisoire n'aurait pas communiqué les conclusions des audits car ceux-ci n'ont
pas encore été débattus devant l'Acam. Et pour cause, ils auraient dû lui être présentés en début de
semaine, à l'occasion d'une audition visant à faire le point sur le placement sous tutelle de Landes
Mutualité. Autrement dit, à le confirmer ou à l'infirmer. Mais cette réunion a finalement été renvoyée, les
avocats de l'équipe dirigeante suspendue ayant eu gain de cause après avoir soulevé un vice de
procédure pour « non-respect du contradictoire ». L'autorité de contrôle, que d'aucuns accusaient de
précipitation dans cette affaire et de tentative de passage en force, a donc choisi de ralentir sa cadence.

Autres points sur lesquels les représentants des 225 salariés de GVM n'ont obtenu aucun détail : le plan
de redressement de Vittavi et l'entrée en scène d'une autre mutuelle pour y participer. D'après Force
ouvrière et la CFDT, mardi, le conseil d'administration de la mutuelle girondine Myriade aurait donné son
accord pour se substituer à Vittavi. Une information que nous avons tenté de vérifier hier auprès de la
direction générale de la mutuelle, dont le siège est à Bordeaux. Mais personne ne nous a jamais
rappelés... Une constante depuis le début des soucis à GVM. La communication de crise ne paraît guère
une spécialité dans le monde feutré de la mutualité.

Inquiets mais déterminés
Un manque de communication dénoncé par deux syndicats de GVM, Force Ouvrière et la CFDT qui
craignent les risques que ferait peser sur les emplois un rapprochement avec une mutuelle directement
concurrente. Raison pour laquelle ils ont tous deux déposé des préavis de grève pour aujourd'hui,
appelant les salariés à débrayer pendant une à deux heures. Un rassemblement doit se tenir à partir de
11 heures devant le siège de Landes Mutualité, à Mont-de-Marsan. « Nous sommes inquiets mais
déterminés », prévient Eric Onselaer.

(1) L'union technique entre Landes Mutualité et la mutuelle étudiante toulousaine. Son siège social est à
Toulouse et son siège administratif à Mont-de-Marsan


Auteur : élisa artigue-cazcarra

« Nous voulons savoir » Extrait Sud-Ouest du 18/12/2009

GVM/LANDES MUTUALITÉ. La réunion du CE organisée hier à Toulouse n'a débouché sur
aucune avancée. FO et la CFDT appellent à des débrayages aujourd'hui


Ce devait être une réunion cruciale : celle qui aurait permis aux salariés du Groupe Vittavi mutualité (1)
de savoir enfin ce qui se trame dans leur dos. À l'ordre du jour de la réunion des délégués du
personnel et du comité d'entreprise, organisée hier à Toulouse, pas moins de dix-sept points. Dont de
très importants : les résultats des différents audits ordonnés depuis le placement sous administration
provisoire des trois structures Vittavi, GVM et Landes Mutualité par l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles ; le plan de redressement de Vittavi qui affiche un trou de 2 millions d'euros à la fin de l'exercice 2009 ; et surtout, l'état d'un approchement avec une autre mutuelle.

« Mais il n'en est pas ressorti grand-chose, se désole Eric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à
GVM. L'ordre du jour a été éludé, l'administrateur provisoire (Philippe Bonin, NDLR) ne donnant que très
peu d'informations et n'éclairant absolument pas les délégués du personnel sur notre devenir. Pourquoi
n'a-t-on aucune réponse à nos questions légitimes ? Nous voulons savoir », déclare le syndicaliste.

L'Acam ralentit la cadence
Ainsi l'administrateur provisoire n'aurait pas communiqué les conclusions des audits car ceux-ci n'ont
pas encore été débattus devant l'Acam. Et pour cause, ils auraient dû lui être présentés en début de
semaine, à l'occasion d'une audition visant à faire le point sur le placement sous tutelle de Landes
Mutualité. Autrement dit, à le confirmer ou à l'infirmer. Mais cette réunion a finalement été renvoyée, les
avocats de l'équipe dirigeante suspendue ayant eu gain de cause après avoir soulevé un vice de
procédure pour « non-respect du contradictoire ». L'autorité de contrôle, que d'aucuns accusaient de
précipitation dans cette affaire et de tentative de passage en force, a donc choisi de ralentir sa cadence.

Autres points sur lesquels les représentants des 225 salariés de GVM n'ont obtenu aucun détail : le plan
de redressement de Vittavi et l'entrée en scène d'une autre mutuelle pour y participer. D'après Force
ouvrière et la CFDT, mardi, le conseil d'administration de la mutuelle girondine Myriade aurait donné son
accord pour se substituer à Vittavi. Une information que nous avons tenté de vérifier hier auprès de la
direction générale de la mutuelle, dont le siège est à Bordeaux. Mais personne ne nous a jamais
rappelés... Une constante depuis le début des soucis à GVM. La communication de crise ne paraît guère
une spécialité dans le monde feutré de la mutualité.

Inquiets mais déterminés
Un manque de communication dénoncé par deux syndicats de GVM, Force Ouvrière et la CFDT qui
craignent les risques que ferait peser sur les emplois un rapprochement avec une mutuelle directement
concurrente. Raison pour laquelle ils ont tous deux déposé des préavis de grève pour aujourd'hui,
appelant les salariés à débrayer pendant une à deux heures. Un rassemblement doit se tenir à partir de
11 heures devant le siège de Landes Mutualité, à Mont-de-Marsan. « Nous sommes inquiets mais
déterminés », prévient Eric Onselaer.

(1) L'union technique entre Landes Mutualité et la mutuelle étudiante toulousaine. Son siège social est à
Toulouse et son siège administratif à Mont-de-Marsan


Auteur : élisa artigue-cazcarra

« Nous voulons savoir » Extrait Sud-Ouest du 18/12/2009

GVM/LANDES MUTUALITÉ. La réunion du CE organisée hier à Toulouse n'a débouché sur
aucune avancée. FO et la CFDT appellent à des débrayages aujourd'hui


Ce devait être une réunion cruciale : celle qui aurait permis aux salariés du Groupe Vittavi mutualité (1)
de savoir enfin ce qui se trame dans leur dos. À l'ordre du jour de la réunion des délégués du
personnel et du comité d'entreprise, organisée hier à Toulouse, pas moins de dix-sept points. Dont de
très importants : les résultats des différents audits ordonnés depuis le placement sous administration
provisoire des trois structures Vittavi, GVM et Landes Mutualité par l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles ; le plan de redressement de Vittavi qui affiche un trou de 2 millions d'euros à la fin de l'exercice 2009 ; et surtout, l'état d'un approchement avec une autre mutuelle.

« Mais il n'en est pas ressorti grand-chose, se désole Eric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à
GVM. L'ordre du jour a été éludé, l'administrateur provisoire (Philippe Bonin, NDLR) ne donnant que très
peu d'informations et n'éclairant absolument pas les délégués du personnel sur notre devenir. Pourquoi
n'a-t-on aucune réponse à nos questions légitimes ? Nous voulons savoir », déclare le syndicaliste.

L'Acam ralentit la cadence
Ainsi l'administrateur provisoire n'aurait pas communiqué les conclusions des audits car ceux-ci n'ont
pas encore été débattus devant l'Acam. Et pour cause, ils auraient dû lui être présentés en début de
semaine, à l'occasion d'une audition visant à faire le point sur le placement sous tutelle de Landes
Mutualité. Autrement dit, à le confirmer ou à l'infirmer. Mais cette réunion a finalement été renvoyée, les
avocats de l'équipe dirigeante suspendue ayant eu gain de cause après avoir soulevé un vice de
procédure pour « non-respect du contradictoire ». L'autorité de contrôle, que d'aucuns accusaient de
précipitation dans cette affaire et de tentative de passage en force, a donc choisi de ralentir sa cadence.

Autres points sur lesquels les représentants des 225 salariés de GVM n'ont obtenu aucun détail : le plan
de redressement de Vittavi et l'entrée en scène d'une autre mutuelle pour y participer. D'après Force
ouvrière et la CFDT, mardi, le conseil d'administration de la mutuelle girondine Myriade aurait donné son
accord pour se substituer à Vittavi. Une information que nous avons tenté de vérifier hier auprès de la
direction générale de la mutuelle, dont le siège est à Bordeaux. Mais personne ne nous a jamais
rappelés... Une constante depuis le début des soucis à GVM. La communication de crise ne paraît guère
une spécialité dans le monde feutré de la mutualité.

Inquiets mais déterminés
Un manque de communication dénoncé par deux syndicats de GVM, Force Ouvrière et la CFDT qui
craignent les risques que ferait peser sur les emplois un rapprochement avec une mutuelle directement
concurrente. Raison pour laquelle ils ont tous deux déposé des préavis de grève pour aujourd'hui,
appelant les salariés à débrayer pendant une à deux heures. Un rassemblement doit se tenir à partir de
11 heures devant le siège de Landes Mutualité, à Mont-de-Marsan. « Nous sommes inquiets mais
déterminés », prévient Eric Onselaer.

(1) L'union technique entre Landes Mutualité et la mutuelle étudiante toulousaine. Son siège social est à
Toulouse et son siège administratif à Mont-de-Marsan


Auteur : élisa artigue-cazcarra

« Nous voulons savoir » Extrait Sud-Ouest du 18/12/2009

GVM/LANDES MUTUALITÉ. La réunion du CE organisée hier à Toulouse n'a débouché sur
aucune avancée. FO et la CFDT appellent à des débrayages aujourd'hui


Ce devait être une réunion cruciale : celle qui aurait permis aux salariés du Groupe Vittavi mutualité (1)
de savoir enfin ce qui se trame dans leur dos. À l'ordre du jour de la réunion des délégués du
personnel et du comité d'entreprise, organisée hier à Toulouse, pas moins de dix-sept points. Dont de
très importants : les résultats des différents audits ordonnés depuis le placement sous administration
provisoire des trois structures Vittavi, GVM et Landes Mutualité par l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles ; le plan de redressement de Vittavi qui affiche un trou de 2 millions d'euros à la fin de l'exercice 2009 ; et surtout, l'état d'un approchement avec une autre mutuelle.

« Mais il n'en est pas ressorti grand-chose, se désole Eric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à
GVM. L'ordre du jour a été éludé, l'administrateur provisoire (Philippe Bonin, NDLR) ne donnant que très
peu d'informations et n'éclairant absolument pas les délégués du personnel sur notre devenir. Pourquoi
n'a-t-on aucune réponse à nos questions légitimes ? Nous voulons savoir », déclare le syndicaliste.

L'Acam ralentit la cadence
Ainsi l'administrateur provisoire n'aurait pas communiqué les conclusions des audits car ceux-ci n'ont
pas encore été débattus devant l'Acam. Et pour cause, ils auraient dû lui être présentés en début de
semaine, à l'occasion d'une audition visant à faire le point sur le placement sous tutelle de Landes
Mutualité. Autrement dit, à le confirmer ou à l'infirmer. Mais cette réunion a finalement été renvoyée, les
avocats de l'équipe dirigeante suspendue ayant eu gain de cause après avoir soulevé un vice de
procédure pour « non-respect du contradictoire ». L'autorité de contrôle, que d'aucuns accusaient de
précipitation dans cette affaire et de tentative de passage en force, a donc choisi de ralentir sa cadence.

Autres points sur lesquels les représentants des 225 salariés de GVM n'ont obtenu aucun détail : le plan
de redressement de Vittavi et l'entrée en scène d'une autre mutuelle pour y participer. D'après Force
ouvrière et la CFDT, mardi, le conseil d'administration de la mutuelle girondine Myriade aurait donné son
accord pour se substituer à Vittavi. Une information que nous avons tenté de vérifier hier auprès de la
direction générale de la mutuelle, dont le siège est à Bordeaux. Mais personne ne nous a jamais
rappelés... Une constante depuis le début des soucis à GVM. La communication de crise ne paraît guère
une spécialité dans le monde feutré de la mutualité.

Inquiets mais déterminés
Un manque de communication dénoncé par deux syndicats de GVM, Force Ouvrière et la CFDT qui
craignent les risques que ferait peser sur les emplois un rapprochement avec une mutuelle directement
concurrente. Raison pour laquelle ils ont tous deux déposé des préavis de grève pour aujourd'hui,
appelant les salariés à débrayer pendant une à deux heures. Un rassemblement doit se tenir à partir de
11 heures devant le siège de Landes Mutualité, à Mont-de-Marsan. « Nous sommes inquiets mais
déterminés », prévient Eric Onselaer.

(1) L'union technique entre Landes Mutualité et la mutuelle étudiante toulousaine. Son siège social est à
Toulouse et son siège administratif à Mont-de-Marsan


Auteur : élisa artigue-cazcarra

« Nous voulons savoir » Extrait Sud-Ouest du 18/12/2009

GVM/LANDES MUTUALITÉ. La réunion du CE organisée hier à Toulouse n'a débouché sur
aucune avancée. FO et la CFDT appellent à des débrayages aujourd'hui


Ce devait être une réunion cruciale : celle qui aurait permis aux salariés du Groupe Vittavi mutualité (1)
de savoir enfin ce qui se trame dans leur dos. À l'ordre du jour de la réunion des délégués du
personnel et du comité d'entreprise, organisée hier à Toulouse, pas moins de dix-sept points. Dont de
très importants : les résultats des différents audits ordonnés depuis le placement sous administration
provisoire des trois structures Vittavi, GVM et Landes Mutualité par l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles ; le plan de redressement de Vittavi qui affiche un trou de 2 millions d'euros à la fin de l'exercice 2009 ; et surtout, l'état d'un approchement avec une autre mutuelle.

« Mais il n'en est pas ressorti grand-chose, se désole Eric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à
GVM. L'ordre du jour a été éludé, l'administrateur provisoire (Philippe Bonin, NDLR) ne donnant que très
peu d'informations et n'éclairant absolument pas les délégués du personnel sur notre devenir. Pourquoi
n'a-t-on aucune réponse à nos questions légitimes ? Nous voulons savoir », déclare le syndicaliste.

L'Acam ralentit la cadence
Ainsi l'administrateur provisoire n'aurait pas communiqué les conclusions des audits car ceux-ci n'ont
pas encore été débattus devant l'Acam. Et pour cause, ils auraient dû lui être présentés en début de
semaine, à l'occasion d'une audition visant à faire le point sur le placement sous tutelle de Landes
Mutualité. Autrement dit, à le confirmer ou à l'infirmer. Mais cette réunion a finalement été renvoyée, les
avocats de l'équipe dirigeante suspendue ayant eu gain de cause après avoir soulevé un vice de
procédure pour « non-respect du contradictoire ». L'autorité de contrôle, que d'aucuns accusaient de
précipitation dans cette affaire et de tentative de passage en force, a donc choisi de ralentir sa cadence.

Autres points sur lesquels les représentants des 225 salariés de GVM n'ont obtenu aucun détail : le plan
de redressement de Vittavi et l'entrée en scène d'une autre mutuelle pour y participer. D'après Force
ouvrière et la CFDT, mardi, le conseil d'administration de la mutuelle girondine Myriade aurait donné son
accord pour se substituer à Vittavi. Une information que nous avons tenté de vérifier hier auprès de la
direction générale de la mutuelle, dont le siège est à Bordeaux. Mais personne ne nous a jamais
rappelés... Une constante depuis le début des soucis à GVM. La communication de crise ne paraît guère
une spécialité dans le monde feutré de la mutualité.

Inquiets mais déterminés
Un manque de communication dénoncé par deux syndicats de GVM, Force Ouvrière et la CFDT qui
craignent les risques que ferait peser sur les emplois un rapprochement avec une mutuelle directement
concurrente. Raison pour laquelle ils ont tous deux déposé des préavis de grève pour aujourd'hui,
appelant les salariés à débrayer pendant une à deux heures. Un rassemblement doit se tenir à partir de
11 heures devant le siège de Landes Mutualité, à Mont-de-Marsan. « Nous sommes inquiets mais
déterminés », prévient Eric Onselaer.

(1) L'union technique entre Landes Mutualité et la mutuelle étudiante toulousaine. Son siège social est à
Toulouse et son siège administratif à Mont-de-Marsan


Auteur : élisa artigue-cazcarra

« Nous voulons savoir » Extrait Sud-Ouest du 18/12/2009

GVM/LANDES MUTUALITÉ. La réunion du CE organisée hier à Toulouse n'a débouché sur
aucune avancée. FO et la CFDT appellent à des débrayages aujourd'hui


Ce devait être une réunion cruciale : celle qui aurait permis aux salariés du Groupe Vittavi mutualité (1)
de savoir enfin ce qui se trame dans leur dos. À l'ordre du jour de la réunion des délégués du
personnel et du comité d'entreprise, organisée hier à Toulouse, pas moins de dix-sept points. Dont de
très importants : les résultats des différents audits ordonnés depuis le placement sous administration
provisoire des trois structures Vittavi, GVM et Landes Mutualité par l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles ; le plan de redressement de Vittavi qui affiche un trou de 2 millions d'euros à la fin de l'exercice 2009 ; et surtout, l'état d'un approchement avec une autre mutuelle.

« Mais il n'en est pas ressorti grand-chose, se désole Eric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à
GVM. L'ordre du jour a été éludé, l'administrateur provisoire (Philippe Bonin, NDLR) ne donnant que très
peu d'informations et n'éclairant absolument pas les délégués du personnel sur notre devenir. Pourquoi
n'a-t-on aucune réponse à nos questions légitimes ? Nous voulons savoir », déclare le syndicaliste.

L'Acam ralentit la cadence
Ainsi l'administrateur provisoire n'aurait pas communiqué les conclusions des audits car ceux-ci n'ont
pas encore été débattus devant l'Acam. Et pour cause, ils auraient dû lui être présentés en début de
semaine, à l'occasion d'une audition visant à faire le point sur le placement sous tutelle de Landes
Mutualité. Autrement dit, à le confirmer ou à l'infirmer. Mais cette réunion a finalement été renvoyée, les
avocats de l'équipe dirigeante suspendue ayant eu gain de cause après avoir soulevé un vice de
procédure pour « non-respect du contradictoire ». L'autorité de contrôle, que d'aucuns accusaient de
précipitation dans cette affaire et de tentative de passage en force, a donc choisi de ralentir sa cadence.

Autres points sur lesquels les représentants des 225 salariés de GVM n'ont obtenu aucun détail : le plan
de redressement de Vittavi et l'entrée en scène d'une autre mutuelle pour y participer. D'après Force
ouvrière et la CFDT, mardi, le conseil d'administration de la mutuelle girondine Myriade aurait donné son
accord pour se substituer à Vittavi. Une information que nous avons tenté de vérifier hier auprès de la
direction générale de la mutuelle, dont le siège est à Bordeaux. Mais personne ne nous a jamais
rappelés... Une constante depuis le début des soucis à GVM. La communication de crise ne paraît guère
une spécialité dans le monde feutré de la mutualité.

Inquiets mais déterminés
Un manque de communication dénoncé par deux syndicats de GVM, Force Ouvrière et la CFDT qui
craignent les risques que ferait peser sur les emplois un rapprochement avec une mutuelle directement
concurrente. Raison pour laquelle ils ont tous deux déposé des préavis de grève pour aujourd'hui,
appelant les salariés à débrayer pendant une à deux heures. Un rassemblement doit se tenir à partir de
11 heures devant le siège de Landes Mutualité, à Mont-de-Marsan. « Nous sommes inquiets mais
déterminés », prévient Eric Onselaer.

(1) L'union technique entre Landes Mutualité et la mutuelle étudiante toulousaine. Son siège social est à
Toulouse et son siège administratif à Mont-de-Marsan


Auteur : élisa artigue-cazcarra