dimanche 31 janvier 2010

Préavis de grève illimitée chez Vittavi

Source : touleco.fr
Alors que la mutuelle bordelaise Myriade doit se substituer à la mutuelle étudiante toulousaine pour le remboursement de ses adhérents, Vittavi et plus largement le Groupe Vittavi Mutualité (GVM) se prépare à une grève illimitée de leurs salariés. Ils demandent la « destitution immédiate » d’Eric Gautier, leur directeur général provisoire. En cause : un courriel des plus douteux qu’il aurait envoyé et visant une salariée du groupe.

La suite ici : touleco.fr

Préavis de grève illimitée chez Vittavi

Source : touleco.fr
Alors que la mutuelle bordelaise Myriade doit se substituer à la mutuelle étudiante toulousaine pour le remboursement de ses adhérents, Vittavi et plus largement le Groupe Vittavi Mutualité (GVM) se prépare à une grève illimitée de leurs salariés. Ils demandent la « destitution immédiate » d’Eric Gautier, leur directeur général provisoire. En cause : un courriel des plus douteux qu’il aurait envoyé et visant une salariée du groupe.

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Préavis de grève illimitée chez Vittavi

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Alors que la mutuelle bordelaise Myriade doit se substituer à la mutuelle étudiante toulousaine pour le remboursement de ses adhérents, Vittavi et plus largement le Groupe Vittavi Mutualité (GVM) se prépare à une grève illimitée de leurs salariés. Ils demandent la « destitution immédiate » d’Eric Gautier, leur directeur général provisoire. En cause : un courriel des plus douteux qu’il aurait envoyé et visant une salariée du groupe.

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Alors que la mutuelle bordelaise Myriade doit se substituer à la mutuelle étudiante toulousaine pour le remboursement de ses adhérents, Vittavi et plus largement le Groupe Vittavi Mutualité (GVM) se prépare à une grève illimitée de leurs salariés. Ils demandent la « destitution immédiate » d’Eric Gautier, leur directeur général provisoire. En cause : un courriel des plus douteux qu’il aurait envoyé et visant une salariée du groupe.

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Alors que la mutuelle bordelaise Myriade doit se substituer à la mutuelle étudiante toulousaine pour le remboursement de ses adhérents, Vittavi et plus largement le Groupe Vittavi Mutualité (GVM) se prépare à une grève illimitée de leurs salariés. Ils demandent la « destitution immédiate » d’Eric Gautier, leur directeur général provisoire. En cause : un courriel des plus douteux qu’il aurait envoyé et visant une salariée du groupe.

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Alors que la mutuelle bordelaise Myriade doit se substituer à la mutuelle étudiante toulousaine pour le remboursement de ses adhérents, Vittavi et plus largement le Groupe Vittavi Mutualité (GVM) se prépare à une grève illimitée de leurs salariés. Ils demandent la « destitution immédiate » d’Eric Gautier, leur directeur général provisoire. En cause : un courriel des plus douteux qu’il aurait envoyé et visant une salariée du groupe.

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Alors que la mutuelle bordelaise Myriade doit se substituer à la mutuelle étudiante toulousaine pour le remboursement de ses adhérents, Vittavi et plus largement le Groupe Vittavi Mutualité (GVM) se prépare à une grève illimitée de leurs salariés. Ils demandent la « destitution immédiate » d’Eric Gautier, leur directeur général provisoire. En cause : un courriel des plus douteux qu’il aurait envoyé et visant une salariée du groupe.

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Préavis de grève illimitée chez Vittavi

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Alors que la mutuelle bordelaise Myriade doit se substituer à la mutuelle étudiante toulousaine pour le remboursement de ses adhérents, Vittavi et plus largement le Groupe Vittavi Mutualité (GVM) se prépare à une grève illimitée de leurs salariés. Ils demandent la « destitution immédiate » d’Eric Gautier, leur directeur général provisoire. En cause : un courriel des plus douteux qu’il aurait envoyé et visant une salariée du groupe.

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Préavis de grève illimitée chez Vittavi

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Alors que la mutuelle bordelaise Myriade doit se substituer à la mutuelle étudiante toulousaine pour le remboursement de ses adhérents, Vittavi et plus largement le Groupe Vittavi Mutualité (GVM) se prépare à une grève illimitée de leurs salariés. Ils demandent la « destitution immédiate » d’Eric Gautier, leur directeur général provisoire. En cause : un courriel des plus douteux qu’il aurait envoyé et visant une salariée du groupe.

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Préavis de grève illimitée chez Vittavi

Source : touleco.fr
Alors que la mutuelle bordelaise Myriade doit se substituer à la mutuelle étudiante toulousaine pour le remboursement de ses adhérents, Vittavi et plus largement le Groupe Vittavi Mutualité (GVM) se prépare à une grève illimitée de leurs salariés. Ils demandent la « destitution immédiate » d’Eric Gautier, leur directeur général provisoire. En cause : un courriel des plus douteux qu’il aurait envoyé et visant une salariée du groupe.

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vendredi 29 janvier 2010

Blacks ..... or white ?

Hier, le groupe GVM tout entier a été victime d'un "accusateur anonyme" : un mail révélant ce que pense le Directeur Général Provisoire (DGP) d'une salariée qui a eu la malencontreuse idée de se mettre en travers de son chemin. Ces propos sont tellement ignobles et écoeurants que nous ne pouvons pas les citer ici.
Le DGP a répondu ce matin à cette attaque en jouant sur le registre de la victime, rôle qu'il connaît visiblement sur le bout des doigts. N'oublions pas quand même que la seule vraie victime, c'est la salariée.
Examinons cette réponse :
- sur la forme déjà : étrangement le style de la réponse ne trompe personne : c'est l'œuvre de bout en bout de l'administrateur provisoire.
- sur le fond : pourquoi ne dit-il pas tout simplement qu'il n'a jamais écrit ce mail infâme ?
Pourquoi est-il "profondément choqué" par les méthodes utilisées contre lui, mais pas par le contenu ignoble qui lui est attribué ?

A-t-il vraiment l'intention de recourir à la justice ou bien a-t-il peur que la balance de la justice ne penche pas du bon côté entre des menaces de mort écrites et une diffusion anonyme ?

En tout les cas, nous à Vérité Landes Mutualité, nous préférons ne pas être "estimé à juste titre" par le DGP, quand on sait que la "salariée concernée" fait l'objet d'une rupture conventionnelle du contrat à l'initiative de la direction. On se demande comment seront traités ceux qui ne sont pas "estimables" ...


M. le DGP, vous n'êtes pas beau à l'intérieur !
DEMISSIONNEZ !

Blacks ..... or white ?

Hier, le groupe GVM tout entier a été victime d'un "accusateur anonyme" : un mail révélant ce que pense le Directeur Général Provisoire (DGP) d'une salariée qui a eu la malencontreuse idée de se mettre en travers de son chemin. Ces propos sont tellement ignobles et écoeurants que nous ne pouvons pas les citer ici.
Le DGP a répondu ce matin à cette attaque en jouant sur le registre de la victime, rôle qu'il connaît visiblement sur le bout des doigts. N'oublions pas quand même que la seule vraie victime, c'est la salariée.
Examinons cette réponse :
- sur la forme déjà : étrangement le style de la réponse ne trompe personne : c'est l'œuvre de bout en bout de l'administrateur provisoire.
- sur le fond : pourquoi ne dit-il pas tout simplement qu'il n'a jamais écrit ce mail infâme ?
Pourquoi est-il "profondément choqué" par les méthodes utilisées contre lui, mais pas par le contenu ignoble qui lui est attribué ?

A-t-il vraiment l'intention de recourir à la justice ou bien a-t-il peur que la balance de la justice ne penche pas du bon côté entre des menaces de mort écrites et une diffusion anonyme ?

En tout les cas, nous à Vérité Landes Mutualité, nous préférons ne pas être "estimé à juste titre" par le DGP, quand on sait que la "salariée concernée" fait l'objet d'une rupture conventionnelle du contrat à l'initiative de la direction. On se demande comment seront traités ceux qui ne sont pas "estimables" ...


M. le DGP, vous n'êtes pas beau à l'intérieur !
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Le DGP a répondu ce matin à cette attaque en jouant sur le registre de la victime, rôle qu'il connaît visiblement sur le bout des doigts. N'oublions pas quand même que la seule vraie victime, c'est la salariée.
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En tout les cas, nous à Vérité Landes Mutualité, nous préférons ne pas être "estimé à juste titre" par le DGP, quand on sait que la "salariée concernée" fait l'objet d'une rupture conventionnelle du contrat à l'initiative de la direction. On se demande comment seront traités ceux qui ne sont pas "estimables" ...


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Le DGP a répondu ce matin à cette attaque en jouant sur le registre de la victime, rôle qu'il connaît visiblement sur le bout des doigts. N'oublions pas quand même que la seule vraie victime, c'est la salariée.
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- sur le fond : pourquoi ne dit-il pas tout simplement qu'il n'a jamais écrit ce mail infâme ?
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A-t-il vraiment l'intention de recourir à la justice ou bien a-t-il peur que la balance de la justice ne penche pas du bon côté entre des menaces de mort écrites et une diffusion anonyme ?

En tout les cas, nous à Vérité Landes Mutualité, nous préférons ne pas être "estimé à juste titre" par le DGP, quand on sait que la "salariée concernée" fait l'objet d'une rupture conventionnelle du contrat à l'initiative de la direction. On se demande comment seront traités ceux qui ne sont pas "estimables" ...


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Le DGP a répondu ce matin à cette attaque en jouant sur le registre de la victime, rôle qu'il connaît visiblement sur le bout des doigts. N'oublions pas quand même que la seule vraie victime, c'est la salariée.
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- sur la forme déjà : étrangement le style de la réponse ne trompe personne : c'est l'œuvre de bout en bout de l'administrateur provisoire.
- sur le fond : pourquoi ne dit-il pas tout simplement qu'il n'a jamais écrit ce mail infâme ?
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A-t-il vraiment l'intention de recourir à la justice ou bien a-t-il peur que la balance de la justice ne penche pas du bon côté entre des menaces de mort écrites et une diffusion anonyme ?

En tout les cas, nous à Vérité Landes Mutualité, nous préférons ne pas être "estimé à juste titre" par le DGP, quand on sait que la "salariée concernée" fait l'objet d'une rupture conventionnelle du contrat à l'initiative de la direction. On se demande comment seront traités ceux qui ne sont pas "estimables" ...


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Hier, le groupe GVM tout entier a été victime d'un "accusateur anonyme" : un mail révélant ce que pense le Directeur Général Provisoire (DGP) d'une salariée qui a eu la malencontreuse idée de se mettre en travers de son chemin. Ces propos sont tellement ignobles et écoeurants que nous ne pouvons pas les citer ici.
Le DGP a répondu ce matin à cette attaque en jouant sur le registre de la victime, rôle qu'il connaît visiblement sur le bout des doigts. N'oublions pas quand même que la seule vraie victime, c'est la salariée.
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Pourquoi est-il "profondément choqué" par les méthodes utilisées contre lui, mais pas par le contenu ignoble qui lui est attribué ?

A-t-il vraiment l'intention de recourir à la justice ou bien a-t-il peur que la balance de la justice ne penche pas du bon côté entre des menaces de mort écrites et une diffusion anonyme ?

En tout les cas, nous à Vérité Landes Mutualité, nous préférons ne pas être "estimé à juste titre" par le DGP, quand on sait que la "salariée concernée" fait l'objet d'une rupture conventionnelle du contrat à l'initiative de la direction. On se demande comment seront traités ceux qui ne sont pas "estimables" ...


M. le DGP, vous n'êtes pas beau à l'intérieur !
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Hier, le groupe GVM tout entier a été victime d'un "accusateur anonyme" : un mail révélant ce que pense le Directeur Général Provisoire (DGP) d'une salariée qui a eu la malencontreuse idée de se mettre en travers de son chemin. Ces propos sont tellement ignobles et écoeurants que nous ne pouvons pas les citer ici.
Le DGP a répondu ce matin à cette attaque en jouant sur le registre de la victime, rôle qu'il connaît visiblement sur le bout des doigts. N'oublions pas quand même que la seule vraie victime, c'est la salariée.
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- sur la forme déjà : étrangement le style de la réponse ne trompe personne : c'est l'œuvre de bout en bout de l'administrateur provisoire.
- sur le fond : pourquoi ne dit-il pas tout simplement qu'il n'a jamais écrit ce mail infâme ?
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Le DGP a répondu ce matin à cette attaque en jouant sur le registre de la victime, rôle qu'il connaît visiblement sur le bout des doigts. N'oublions pas quand même que la seule vraie victime, c'est la salariée.
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- sur la forme déjà : étrangement le style de la réponse ne trompe personne : c'est l'œuvre de bout en bout de l'administrateur provisoire.
- sur le fond : pourquoi ne dit-il pas tout simplement qu'il n'a jamais écrit ce mail infâme ?
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A-t-il vraiment l'intention de recourir à la justice ou bien a-t-il peur que la balance de la justice ne penche pas du bon côté entre des menaces de mort écrites et une diffusion anonyme ?

En tout les cas, nous à Vérité Landes Mutualité, nous préférons ne pas être "estimé à juste titre" par le DGP, quand on sait que la "salariée concernée" fait l'objet d'une rupture conventionnelle du contrat à l'initiative de la direction. On se demande comment seront traités ceux qui ne sont pas "estimables" ...


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Hier, le groupe GVM tout entier a été victime d'un "accusateur anonyme" : un mail révélant ce que pense le Directeur Général Provisoire (DGP) d'une salariée qui a eu la malencontreuse idée de se mettre en travers de son chemin. Ces propos sont tellement ignobles et écoeurants que nous ne pouvons pas les citer ici.
Le DGP a répondu ce matin à cette attaque en jouant sur le registre de la victime, rôle qu'il connaît visiblement sur le bout des doigts. N'oublions pas quand même que la seule vraie victime, c'est la salariée.
Examinons cette réponse :
- sur la forme déjà : étrangement le style de la réponse ne trompe personne : c'est l'œuvre de bout en bout de l'administrateur provisoire.
- sur le fond : pourquoi ne dit-il pas tout simplement qu'il n'a jamais écrit ce mail infâme ?
Pourquoi est-il "profondément choqué" par les méthodes utilisées contre lui, mais pas par le contenu ignoble qui lui est attribué ?

A-t-il vraiment l'intention de recourir à la justice ou bien a-t-il peur que la balance de la justice ne penche pas du bon côté entre des menaces de mort écrites et une diffusion anonyme ?

En tout les cas, nous à Vérité Landes Mutualité, nous préférons ne pas être "estimé à juste titre" par le DGP, quand on sait que la "salariée concernée" fait l'objet d'une rupture conventionnelle du contrat à l'initiative de la direction. On se demande comment seront traités ceux qui ne sont pas "estimables" ...


M. le DGP, vous n'êtes pas beau à l'intérieur !
DEMISSIONNEZ !

Blacks ..... or white ?

Hier, le groupe GVM tout entier a été victime d'un "accusateur anonyme" : un mail révélant ce que pense le Directeur Général Provisoire (DGP) d'une salariée qui a eu la malencontreuse idée de se mettre en travers de son chemin. Ces propos sont tellement ignobles et écoeurants que nous ne pouvons pas les citer ici.
Le DGP a répondu ce matin à cette attaque en jouant sur le registre de la victime, rôle qu'il connaît visiblement sur le bout des doigts. N'oublions pas quand même que la seule vraie victime, c'est la salariée.
Examinons cette réponse :
- sur la forme déjà : étrangement le style de la réponse ne trompe personne : c'est l'œuvre de bout en bout de l'administrateur provisoire.
- sur le fond : pourquoi ne dit-il pas tout simplement qu'il n'a jamais écrit ce mail infâme ?
Pourquoi est-il "profondément choqué" par les méthodes utilisées contre lui, mais pas par le contenu ignoble qui lui est attribué ?

A-t-il vraiment l'intention de recourir à la justice ou bien a-t-il peur que la balance de la justice ne penche pas du bon côté entre des menaces de mort écrites et une diffusion anonyme ?

En tout les cas, nous à Vérité Landes Mutualité, nous préférons ne pas être "estimé à juste titre" par le DGP, quand on sait que la "salariée concernée" fait l'objet d'une rupture conventionnelle du contrat à l'initiative de la direction. On se demande comment seront traités ceux qui ne sont pas "estimables" ...


M. le DGP, vous n'êtes pas beau à l'intérieur !
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samedi 23 janvier 2010

Le ton se durcit

Source : Sudouest.com
LA JUSTICE EST SAISIE, GVM/LANDES MUTUALITÉ. Hier, les salariés défilaient à Mont-de-Marsan. Les ex-dirigeants ont saisi la justice

Nouvelle manifestation, hier matin, des salariés de GVM/Landes Mutualité, toujours aussi inquiets pour leur avenir depuis que la
mutuelle a été placée sous administration provisoire sur décision de l'Acam (1), en novembre dernier. à la différence des récédentes actions, une soixantaine de personnes ont défilé dans les rues de Mont-de-Marsan au lieu de se cantonner devant le siège de la mutuelle. Une visibilité accrue qui accompagne un durcissement du ton.

Car si les revendications n'ont pas changé, au premier rang desquelles ne pas payer les pots cassés des déboires de Vittavi - avec qui Landes Mutualité est associée au sein de l'union technique GVM -, les arguments se font plus acérés. Dans le collimateur : l'administrateur provisoire, Philippe Bonin, désigné par l'autorité de contrôle pour superviser Vittavi, GVM et Landes Mutualité. « Depuis sa nomination, il n'est venu à Mont-de-Marsan qu'à trois reprises. Il n'y a plus de comités directeurs à Landes Mutualité et la gestion n'est assurée que grâce à la conscience professionnelle des salariés », indique Éric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à GVM.

« Hold-up »
Et le représentant syndical ne prend pas en traître le principal intéressé à qui il a dit tout cela à travers un courrier, envoyé
la semaine dernière, faute de recevoir une réponse à ses demandes de rencontre. Conséquence : la lettre a été transmise en copie au préfet, au procureur de la République de Mont-de-Marsan, à l'inspection du travail et à l'Acam. « L'administrateur provisoire ne fait rien et ne communique absolument pas avec les salariés. Pire, il a accordé une prime à l'incompétence en mettant à la direction par intérim de GVM l'ex-dirigeant de Vittavi (Éric Gautier, NDLR), mutuelle étudiante qui est aujourd'hui en cessation de paiements. C'est à croire qu'ils font tout pour couler Landes Mutualité et en prendre le contrôle », dénonce Stéphane Mascaron, de la CFDT.

Les salariés de Landes Mutualité craignent surtout une prise de pouvoir par la mutuelle concurrente girondine Myriade. « Elle vient de prêter 1,5 million d'euros à Vittavi. Ce n'est certainement pas pour ses beaux yeux », poursuit Stéphane Mascaron. Justement, une assemblée générale de Vittavi doit se tenir aujourd'hui à Toulouse. « Une convention de substitution entre Myriade et Vittavi va certainement être validée. Le gros risque pour nous, c'est ensuite une fusion avec GVM. Il existe pourtant d'autres solutions qui permettraient de sauver tous les emplois (2), notamment un rapprochement de Landes Mutualité avec Réunica, qui est très intéressé et vient de le rappeler à l'Acam. Mais de cela, l'administrateur provisoire ne veut pas parler », affirme Éric Onselaer.

Toutes ces inquiétudes ont été exposées successivement hier matin au maire Modem de Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq, au député socialiste Alain Vidalies et au président du Conseil général des Landes Henri Emmanuelli. Les représentants syndicaux s'en sont également ouverts auprès du directeur de cabinet de préfet qui les a reçus. Hier soir, Geneviève Darrieussecq réagissait par communiqué. « J'ai le sentiment d'un véritable hold-up dans ce dossier car il me paraît incompréhensible que les difficultés d'une petite structure associée (Vittavi, NDLR) mettent à mal une mutuelle de proximité en plein développement (LM, NDLR). Je ne comprends donc pas pourquoi Landes Mutualité a été placée sous administration provisoire alors qu'aucun danger ne pèse sur ses adhérents. Je ne comprends pas non plus pourquoi le représentant de l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, qui a ordonné cette administration provisoire, refuse, malgré plusieurs sollicitations, de me rencontrer. » Elle n'est pas la seule à se poser cette question.



(1) Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, le gendarme du secteur. (2) GVM compte 200 emplois : 110 sont issus des rangs de Landes Mutualité et 90 de Vittavi.

Deux procédures engagées par des ex-dirigeants de Landes Mutualité démis de leurs fonctions sont en cours. Comme l'avait annoncé Jean-Pierre Feigna, président suspendu, un recours vient d'être déposé devant le Conseil d'État pour faire annuler la mesure d'administration provisoire. Le résultat ne devrait pas être connu avant fin février-début mars.
Par ailleurs, Roger Cousseau, vice-président de GVM suspendu, a déposé une plainte fin décembre au commissariat de Mont-de-Marsan contre l'un des principaux administrateurs de Vittavi. Il l'accuse d'un détournement de fonds de l'ordre de 1 250,82 € correspondant à des notes de frais. On ignore pour l'instant les suites qui seront données à cette plainte.

Le ton se durcit

Source : Sudouest.com
LA JUSTICE EST SAISIE, GVM/LANDES MUTUALITÉ. Hier, les salariés défilaient à Mont-de-Marsan. Les ex-dirigeants ont saisi la justice

Nouvelle manifestation, hier matin, des salariés de GVM/Landes Mutualité, toujours aussi inquiets pour leur avenir depuis que la
mutuelle a été placée sous administration provisoire sur décision de l'Acam (1), en novembre dernier. à la différence des récédentes actions, une soixantaine de personnes ont défilé dans les rues de Mont-de-Marsan au lieu de se cantonner devant le siège de la mutuelle. Une visibilité accrue qui accompagne un durcissement du ton.

Car si les revendications n'ont pas changé, au premier rang desquelles ne pas payer les pots cassés des déboires de Vittavi - avec qui Landes Mutualité est associée au sein de l'union technique GVM -, les arguments se font plus acérés. Dans le collimateur : l'administrateur provisoire, Philippe Bonin, désigné par l'autorité de contrôle pour superviser Vittavi, GVM et Landes Mutualité. « Depuis sa nomination, il n'est venu à Mont-de-Marsan qu'à trois reprises. Il n'y a plus de comités directeurs à Landes Mutualité et la gestion n'est assurée que grâce à la conscience professionnelle des salariés », indique Éric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à GVM.

« Hold-up »
Et le représentant syndical ne prend pas en traître le principal intéressé à qui il a dit tout cela à travers un courrier, envoyé
la semaine dernière, faute de recevoir une réponse à ses demandes de rencontre. Conséquence : la lettre a été transmise en copie au préfet, au procureur de la République de Mont-de-Marsan, à l'inspection du travail et à l'Acam. « L'administrateur provisoire ne fait rien et ne communique absolument pas avec les salariés. Pire, il a accordé une prime à l'incompétence en mettant à la direction par intérim de GVM l'ex-dirigeant de Vittavi (Éric Gautier, NDLR), mutuelle étudiante qui est aujourd'hui en cessation de paiements. C'est à croire qu'ils font tout pour couler Landes Mutualité et en prendre le contrôle », dénonce Stéphane Mascaron, de la CFDT.

Les salariés de Landes Mutualité craignent surtout une prise de pouvoir par la mutuelle concurrente girondine Myriade. « Elle vient de prêter 1,5 million d'euros à Vittavi. Ce n'est certainement pas pour ses beaux yeux », poursuit Stéphane Mascaron. Justement, une assemblée générale de Vittavi doit se tenir aujourd'hui à Toulouse. « Une convention de substitution entre Myriade et Vittavi va certainement être validée. Le gros risque pour nous, c'est ensuite une fusion avec GVM. Il existe pourtant d'autres solutions qui permettraient de sauver tous les emplois (2), notamment un rapprochement de Landes Mutualité avec Réunica, qui est très intéressé et vient de le rappeler à l'Acam. Mais de cela, l'administrateur provisoire ne veut pas parler », affirme Éric Onselaer.

Toutes ces inquiétudes ont été exposées successivement hier matin au maire Modem de Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq, au député socialiste Alain Vidalies et au président du Conseil général des Landes Henri Emmanuelli. Les représentants syndicaux s'en sont également ouverts auprès du directeur de cabinet de préfet qui les a reçus. Hier soir, Geneviève Darrieussecq réagissait par communiqué. « J'ai le sentiment d'un véritable hold-up dans ce dossier car il me paraît incompréhensible que les difficultés d'une petite structure associée (Vittavi, NDLR) mettent à mal une mutuelle de proximité en plein développement (LM, NDLR). Je ne comprends donc pas pourquoi Landes Mutualité a été placée sous administration provisoire alors qu'aucun danger ne pèse sur ses adhérents. Je ne comprends pas non plus pourquoi le représentant de l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, qui a ordonné cette administration provisoire, refuse, malgré plusieurs sollicitations, de me rencontrer. » Elle n'est pas la seule à se poser cette question.



(1) Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, le gendarme du secteur. (2) GVM compte 200 emplois : 110 sont issus des rangs de Landes Mutualité et 90 de Vittavi.

Deux procédures engagées par des ex-dirigeants de Landes Mutualité démis de leurs fonctions sont en cours. Comme l'avait annoncé Jean-Pierre Feigna, président suspendu, un recours vient d'être déposé devant le Conseil d'État pour faire annuler la mesure d'administration provisoire. Le résultat ne devrait pas être connu avant fin février-début mars.
Par ailleurs, Roger Cousseau, vice-président de GVM suspendu, a déposé une plainte fin décembre au commissariat de Mont-de-Marsan contre l'un des principaux administrateurs de Vittavi. Il l'accuse d'un détournement de fonds de l'ordre de 1 250,82 € correspondant à des notes de frais. On ignore pour l'instant les suites qui seront données à cette plainte.

Le ton se durcit

Source : Sudouest.com
LA JUSTICE EST SAISIE, GVM/LANDES MUTUALITÉ. Hier, les salariés défilaient à Mont-de-Marsan. Les ex-dirigeants ont saisi la justice

Nouvelle manifestation, hier matin, des salariés de GVM/Landes Mutualité, toujours aussi inquiets pour leur avenir depuis que la
mutuelle a été placée sous administration provisoire sur décision de l'Acam (1), en novembre dernier. à la différence des récédentes actions, une soixantaine de personnes ont défilé dans les rues de Mont-de-Marsan au lieu de se cantonner devant le siège de la mutuelle. Une visibilité accrue qui accompagne un durcissement du ton.

Car si les revendications n'ont pas changé, au premier rang desquelles ne pas payer les pots cassés des déboires de Vittavi - avec qui Landes Mutualité est associée au sein de l'union technique GVM -, les arguments se font plus acérés. Dans le collimateur : l'administrateur provisoire, Philippe Bonin, désigné par l'autorité de contrôle pour superviser Vittavi, GVM et Landes Mutualité. « Depuis sa nomination, il n'est venu à Mont-de-Marsan qu'à trois reprises. Il n'y a plus de comités directeurs à Landes Mutualité et la gestion n'est assurée que grâce à la conscience professionnelle des salariés », indique Éric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à GVM.

« Hold-up »
Et le représentant syndical ne prend pas en traître le principal intéressé à qui il a dit tout cela à travers un courrier, envoyé
la semaine dernière, faute de recevoir une réponse à ses demandes de rencontre. Conséquence : la lettre a été transmise en copie au préfet, au procureur de la République de Mont-de-Marsan, à l'inspection du travail et à l'Acam. « L'administrateur provisoire ne fait rien et ne communique absolument pas avec les salariés. Pire, il a accordé une prime à l'incompétence en mettant à la direction par intérim de GVM l'ex-dirigeant de Vittavi (Éric Gautier, NDLR), mutuelle étudiante qui est aujourd'hui en cessation de paiements. C'est à croire qu'ils font tout pour couler Landes Mutualité et en prendre le contrôle », dénonce Stéphane Mascaron, de la CFDT.

Les salariés de Landes Mutualité craignent surtout une prise de pouvoir par la mutuelle concurrente girondine Myriade. « Elle vient de prêter 1,5 million d'euros à Vittavi. Ce n'est certainement pas pour ses beaux yeux », poursuit Stéphane Mascaron. Justement, une assemblée générale de Vittavi doit se tenir aujourd'hui à Toulouse. « Une convention de substitution entre Myriade et Vittavi va certainement être validée. Le gros risque pour nous, c'est ensuite une fusion avec GVM. Il existe pourtant d'autres solutions qui permettraient de sauver tous les emplois (2), notamment un rapprochement de Landes Mutualité avec Réunica, qui est très intéressé et vient de le rappeler à l'Acam. Mais de cela, l'administrateur provisoire ne veut pas parler », affirme Éric Onselaer.

Toutes ces inquiétudes ont été exposées successivement hier matin au maire Modem de Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq, au député socialiste Alain Vidalies et au président du Conseil général des Landes Henri Emmanuelli. Les représentants syndicaux s'en sont également ouverts auprès du directeur de cabinet de préfet qui les a reçus. Hier soir, Geneviève Darrieussecq réagissait par communiqué. « J'ai le sentiment d'un véritable hold-up dans ce dossier car il me paraît incompréhensible que les difficultés d'une petite structure associée (Vittavi, NDLR) mettent à mal une mutuelle de proximité en plein développement (LM, NDLR). Je ne comprends donc pas pourquoi Landes Mutualité a été placée sous administration provisoire alors qu'aucun danger ne pèse sur ses adhérents. Je ne comprends pas non plus pourquoi le représentant de l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, qui a ordonné cette administration provisoire, refuse, malgré plusieurs sollicitations, de me rencontrer. » Elle n'est pas la seule à se poser cette question.



(1) Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, le gendarme du secteur. (2) GVM compte 200 emplois : 110 sont issus des rangs de Landes Mutualité et 90 de Vittavi.

Deux procédures engagées par des ex-dirigeants de Landes Mutualité démis de leurs fonctions sont en cours. Comme l'avait annoncé Jean-Pierre Feigna, président suspendu, un recours vient d'être déposé devant le Conseil d'État pour faire annuler la mesure d'administration provisoire. Le résultat ne devrait pas être connu avant fin février-début mars.
Par ailleurs, Roger Cousseau, vice-président de GVM suspendu, a déposé une plainte fin décembre au commissariat de Mont-de-Marsan contre l'un des principaux administrateurs de Vittavi. Il l'accuse d'un détournement de fonds de l'ordre de 1 250,82 € correspondant à des notes de frais. On ignore pour l'instant les suites qui seront données à cette plainte.

Le ton se durcit

Source : Sudouest.com
LA JUSTICE EST SAISIE, GVM/LANDES MUTUALITÉ. Hier, les salariés défilaient à Mont-de-Marsan. Les ex-dirigeants ont saisi la justice

Nouvelle manifestation, hier matin, des salariés de GVM/Landes Mutualité, toujours aussi inquiets pour leur avenir depuis que la
mutuelle a été placée sous administration provisoire sur décision de l'Acam (1), en novembre dernier. à la différence des récédentes actions, une soixantaine de personnes ont défilé dans les rues de Mont-de-Marsan au lieu de se cantonner devant le siège de la mutuelle. Une visibilité accrue qui accompagne un durcissement du ton.

Car si les revendications n'ont pas changé, au premier rang desquelles ne pas payer les pots cassés des déboires de Vittavi - avec qui Landes Mutualité est associée au sein de l'union technique GVM -, les arguments se font plus acérés. Dans le collimateur : l'administrateur provisoire, Philippe Bonin, désigné par l'autorité de contrôle pour superviser Vittavi, GVM et Landes Mutualité. « Depuis sa nomination, il n'est venu à Mont-de-Marsan qu'à trois reprises. Il n'y a plus de comités directeurs à Landes Mutualité et la gestion n'est assurée que grâce à la conscience professionnelle des salariés », indique Éric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à GVM.

« Hold-up »
Et le représentant syndical ne prend pas en traître le principal intéressé à qui il a dit tout cela à travers un courrier, envoyé
la semaine dernière, faute de recevoir une réponse à ses demandes de rencontre. Conséquence : la lettre a été transmise en copie au préfet, au procureur de la République de Mont-de-Marsan, à l'inspection du travail et à l'Acam. « L'administrateur provisoire ne fait rien et ne communique absolument pas avec les salariés. Pire, il a accordé une prime à l'incompétence en mettant à la direction par intérim de GVM l'ex-dirigeant de Vittavi (Éric Gautier, NDLR), mutuelle étudiante qui est aujourd'hui en cessation de paiements. C'est à croire qu'ils font tout pour couler Landes Mutualité et en prendre le contrôle », dénonce Stéphane Mascaron, de la CFDT.

Les salariés de Landes Mutualité craignent surtout une prise de pouvoir par la mutuelle concurrente girondine Myriade. « Elle vient de prêter 1,5 million d'euros à Vittavi. Ce n'est certainement pas pour ses beaux yeux », poursuit Stéphane Mascaron. Justement, une assemblée générale de Vittavi doit se tenir aujourd'hui à Toulouse. « Une convention de substitution entre Myriade et Vittavi va certainement être validée. Le gros risque pour nous, c'est ensuite une fusion avec GVM. Il existe pourtant d'autres solutions qui permettraient de sauver tous les emplois (2), notamment un rapprochement de Landes Mutualité avec Réunica, qui est très intéressé et vient de le rappeler à l'Acam. Mais de cela, l'administrateur provisoire ne veut pas parler », affirme Éric Onselaer.

Toutes ces inquiétudes ont été exposées successivement hier matin au maire Modem de Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq, au député socialiste Alain Vidalies et au président du Conseil général des Landes Henri Emmanuelli. Les représentants syndicaux s'en sont également ouverts auprès du directeur de cabinet de préfet qui les a reçus. Hier soir, Geneviève Darrieussecq réagissait par communiqué. « J'ai le sentiment d'un véritable hold-up dans ce dossier car il me paraît incompréhensible que les difficultés d'une petite structure associée (Vittavi, NDLR) mettent à mal une mutuelle de proximité en plein développement (LM, NDLR). Je ne comprends donc pas pourquoi Landes Mutualité a été placée sous administration provisoire alors qu'aucun danger ne pèse sur ses adhérents. Je ne comprends pas non plus pourquoi le représentant de l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, qui a ordonné cette administration provisoire, refuse, malgré plusieurs sollicitations, de me rencontrer. » Elle n'est pas la seule à se poser cette question.



(1) Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, le gendarme du secteur. (2) GVM compte 200 emplois : 110 sont issus des rangs de Landes Mutualité et 90 de Vittavi.

Deux procédures engagées par des ex-dirigeants de Landes Mutualité démis de leurs fonctions sont en cours. Comme l'avait annoncé Jean-Pierre Feigna, président suspendu, un recours vient d'être déposé devant le Conseil d'État pour faire annuler la mesure d'administration provisoire. Le résultat ne devrait pas être connu avant fin février-début mars.
Par ailleurs, Roger Cousseau, vice-président de GVM suspendu, a déposé une plainte fin décembre au commissariat de Mont-de-Marsan contre l'un des principaux administrateurs de Vittavi. Il l'accuse d'un détournement de fonds de l'ordre de 1 250,82 € correspondant à des notes de frais. On ignore pour l'instant les suites qui seront données à cette plainte.

Le ton se durcit

Source : Sudouest.com
LA JUSTICE EST SAISIE, GVM/LANDES MUTUALITÉ. Hier, les salariés défilaient à Mont-de-Marsan. Les ex-dirigeants ont saisi la justice

Nouvelle manifestation, hier matin, des salariés de GVM/Landes Mutualité, toujours aussi inquiets pour leur avenir depuis que la
mutuelle a été placée sous administration provisoire sur décision de l'Acam (1), en novembre dernier. à la différence des récédentes actions, une soixantaine de personnes ont défilé dans les rues de Mont-de-Marsan au lieu de se cantonner devant le siège de la mutuelle. Une visibilité accrue qui accompagne un durcissement du ton.

Car si les revendications n'ont pas changé, au premier rang desquelles ne pas payer les pots cassés des déboires de Vittavi - avec qui Landes Mutualité est associée au sein de l'union technique GVM -, les arguments se font plus acérés. Dans le collimateur : l'administrateur provisoire, Philippe Bonin, désigné par l'autorité de contrôle pour superviser Vittavi, GVM et Landes Mutualité. « Depuis sa nomination, il n'est venu à Mont-de-Marsan qu'à trois reprises. Il n'y a plus de comités directeurs à Landes Mutualité et la gestion n'est assurée que grâce à la conscience professionnelle des salariés », indique Éric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à GVM.

« Hold-up »
Et le représentant syndical ne prend pas en traître le principal intéressé à qui il a dit tout cela à travers un courrier, envoyé
la semaine dernière, faute de recevoir une réponse à ses demandes de rencontre. Conséquence : la lettre a été transmise en copie au préfet, au procureur de la République de Mont-de-Marsan, à l'inspection du travail et à l'Acam. « L'administrateur provisoire ne fait rien et ne communique absolument pas avec les salariés. Pire, il a accordé une prime à l'incompétence en mettant à la direction par intérim de GVM l'ex-dirigeant de Vittavi (Éric Gautier, NDLR), mutuelle étudiante qui est aujourd'hui en cessation de paiements. C'est à croire qu'ils font tout pour couler Landes Mutualité et en prendre le contrôle », dénonce Stéphane Mascaron, de la CFDT.

Les salariés de Landes Mutualité craignent surtout une prise de pouvoir par la mutuelle concurrente girondine Myriade. « Elle vient de prêter 1,5 million d'euros à Vittavi. Ce n'est certainement pas pour ses beaux yeux », poursuit Stéphane Mascaron. Justement, une assemblée générale de Vittavi doit se tenir aujourd'hui à Toulouse. « Une convention de substitution entre Myriade et Vittavi va certainement être validée. Le gros risque pour nous, c'est ensuite une fusion avec GVM. Il existe pourtant d'autres solutions qui permettraient de sauver tous les emplois (2), notamment un rapprochement de Landes Mutualité avec Réunica, qui est très intéressé et vient de le rappeler à l'Acam. Mais de cela, l'administrateur provisoire ne veut pas parler », affirme Éric Onselaer.

Toutes ces inquiétudes ont été exposées successivement hier matin au maire Modem de Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq, au député socialiste Alain Vidalies et au président du Conseil général des Landes Henri Emmanuelli. Les représentants syndicaux s'en sont également ouverts auprès du directeur de cabinet de préfet qui les a reçus. Hier soir, Geneviève Darrieussecq réagissait par communiqué. « J'ai le sentiment d'un véritable hold-up dans ce dossier car il me paraît incompréhensible que les difficultés d'une petite structure associée (Vittavi, NDLR) mettent à mal une mutuelle de proximité en plein développement (LM, NDLR). Je ne comprends donc pas pourquoi Landes Mutualité a été placée sous administration provisoire alors qu'aucun danger ne pèse sur ses adhérents. Je ne comprends pas non plus pourquoi le représentant de l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, qui a ordonné cette administration provisoire, refuse, malgré plusieurs sollicitations, de me rencontrer. » Elle n'est pas la seule à se poser cette question.



(1) Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, le gendarme du secteur. (2) GVM compte 200 emplois : 110 sont issus des rangs de Landes Mutualité et 90 de Vittavi.

Deux procédures engagées par des ex-dirigeants de Landes Mutualité démis de leurs fonctions sont en cours. Comme l'avait annoncé Jean-Pierre Feigna, président suspendu, un recours vient d'être déposé devant le Conseil d'État pour faire annuler la mesure d'administration provisoire. Le résultat ne devrait pas être connu avant fin février-début mars.
Par ailleurs, Roger Cousseau, vice-président de GVM suspendu, a déposé une plainte fin décembre au commissariat de Mont-de-Marsan contre l'un des principaux administrateurs de Vittavi. Il l'accuse d'un détournement de fonds de l'ordre de 1 250,82 € correspondant à des notes de frais. On ignore pour l'instant les suites qui seront données à cette plainte.

Le ton se durcit

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LA JUSTICE EST SAISIE, GVM/LANDES MUTUALITÉ. Hier, les salariés défilaient à Mont-de-Marsan. Les ex-dirigeants ont saisi la justice

Nouvelle manifestation, hier matin, des salariés de GVM/Landes Mutualité, toujours aussi inquiets pour leur avenir depuis que la
mutuelle a été placée sous administration provisoire sur décision de l'Acam (1), en novembre dernier. à la différence des récédentes actions, une soixantaine de personnes ont défilé dans les rues de Mont-de-Marsan au lieu de se cantonner devant le siège de la mutuelle. Une visibilité accrue qui accompagne un durcissement du ton.

Car si les revendications n'ont pas changé, au premier rang desquelles ne pas payer les pots cassés des déboires de Vittavi - avec qui Landes Mutualité est associée au sein de l'union technique GVM -, les arguments se font plus acérés. Dans le collimateur : l'administrateur provisoire, Philippe Bonin, désigné par l'autorité de contrôle pour superviser Vittavi, GVM et Landes Mutualité. « Depuis sa nomination, il n'est venu à Mont-de-Marsan qu'à trois reprises. Il n'y a plus de comités directeurs à Landes Mutualité et la gestion n'est assurée que grâce à la conscience professionnelle des salariés », indique Éric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à GVM.

« Hold-up »
Et le représentant syndical ne prend pas en traître le principal intéressé à qui il a dit tout cela à travers un courrier, envoyé
la semaine dernière, faute de recevoir une réponse à ses demandes de rencontre. Conséquence : la lettre a été transmise en copie au préfet, au procureur de la République de Mont-de-Marsan, à l'inspection du travail et à l'Acam. « L'administrateur provisoire ne fait rien et ne communique absolument pas avec les salariés. Pire, il a accordé une prime à l'incompétence en mettant à la direction par intérim de GVM l'ex-dirigeant de Vittavi (Éric Gautier, NDLR), mutuelle étudiante qui est aujourd'hui en cessation de paiements. C'est à croire qu'ils font tout pour couler Landes Mutualité et en prendre le contrôle », dénonce Stéphane Mascaron, de la CFDT.

Les salariés de Landes Mutualité craignent surtout une prise de pouvoir par la mutuelle concurrente girondine Myriade. « Elle vient de prêter 1,5 million d'euros à Vittavi. Ce n'est certainement pas pour ses beaux yeux », poursuit Stéphane Mascaron. Justement, une assemblée générale de Vittavi doit se tenir aujourd'hui à Toulouse. « Une convention de substitution entre Myriade et Vittavi va certainement être validée. Le gros risque pour nous, c'est ensuite une fusion avec GVM. Il existe pourtant d'autres solutions qui permettraient de sauver tous les emplois (2), notamment un rapprochement de Landes Mutualité avec Réunica, qui est très intéressé et vient de le rappeler à l'Acam. Mais de cela, l'administrateur provisoire ne veut pas parler », affirme Éric Onselaer.

Toutes ces inquiétudes ont été exposées successivement hier matin au maire Modem de Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq, au député socialiste Alain Vidalies et au président du Conseil général des Landes Henri Emmanuelli. Les représentants syndicaux s'en sont également ouverts auprès du directeur de cabinet de préfet qui les a reçus. Hier soir, Geneviève Darrieussecq réagissait par communiqué. « J'ai le sentiment d'un véritable hold-up dans ce dossier car il me paraît incompréhensible que les difficultés d'une petite structure associée (Vittavi, NDLR) mettent à mal une mutuelle de proximité en plein développement (LM, NDLR). Je ne comprends donc pas pourquoi Landes Mutualité a été placée sous administration provisoire alors qu'aucun danger ne pèse sur ses adhérents. Je ne comprends pas non plus pourquoi le représentant de l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, qui a ordonné cette administration provisoire, refuse, malgré plusieurs sollicitations, de me rencontrer. » Elle n'est pas la seule à se poser cette question.



(1) Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, le gendarme du secteur. (2) GVM compte 200 emplois : 110 sont issus des rangs de Landes Mutualité et 90 de Vittavi.

Deux procédures engagées par des ex-dirigeants de Landes Mutualité démis de leurs fonctions sont en cours. Comme l'avait annoncé Jean-Pierre Feigna, président suspendu, un recours vient d'être déposé devant le Conseil d'État pour faire annuler la mesure d'administration provisoire. Le résultat ne devrait pas être connu avant fin février-début mars.
Par ailleurs, Roger Cousseau, vice-président de GVM suspendu, a déposé une plainte fin décembre au commissariat de Mont-de-Marsan contre l'un des principaux administrateurs de Vittavi. Il l'accuse d'un détournement de fonds de l'ordre de 1 250,82 € correspondant à des notes de frais. On ignore pour l'instant les suites qui seront données à cette plainte.

Le ton se durcit

Source : Sudouest.com
LA JUSTICE EST SAISIE, GVM/LANDES MUTUALITÉ. Hier, les salariés défilaient à Mont-de-Marsan. Les ex-dirigeants ont saisi la justice

Nouvelle manifestation, hier matin, des salariés de GVM/Landes Mutualité, toujours aussi inquiets pour leur avenir depuis que la
mutuelle a été placée sous administration provisoire sur décision de l'Acam (1), en novembre dernier. à la différence des récédentes actions, une soixantaine de personnes ont défilé dans les rues de Mont-de-Marsan au lieu de se cantonner devant le siège de la mutuelle. Une visibilité accrue qui accompagne un durcissement du ton.

Car si les revendications n'ont pas changé, au premier rang desquelles ne pas payer les pots cassés des déboires de Vittavi - avec qui Landes Mutualité est associée au sein de l'union technique GVM -, les arguments se font plus acérés. Dans le collimateur : l'administrateur provisoire, Philippe Bonin, désigné par l'autorité de contrôle pour superviser Vittavi, GVM et Landes Mutualité. « Depuis sa nomination, il n'est venu à Mont-de-Marsan qu'à trois reprises. Il n'y a plus de comités directeurs à Landes Mutualité et la gestion n'est assurée que grâce à la conscience professionnelle des salariés », indique Éric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à GVM.

« Hold-up »
Et le représentant syndical ne prend pas en traître le principal intéressé à qui il a dit tout cela à travers un courrier, envoyé
la semaine dernière, faute de recevoir une réponse à ses demandes de rencontre. Conséquence : la lettre a été transmise en copie au préfet, au procureur de la République de Mont-de-Marsan, à l'inspection du travail et à l'Acam. « L'administrateur provisoire ne fait rien et ne communique absolument pas avec les salariés. Pire, il a accordé une prime à l'incompétence en mettant à la direction par intérim de GVM l'ex-dirigeant de Vittavi (Éric Gautier, NDLR), mutuelle étudiante qui est aujourd'hui en cessation de paiements. C'est à croire qu'ils font tout pour couler Landes Mutualité et en prendre le contrôle », dénonce Stéphane Mascaron, de la CFDT.

Les salariés de Landes Mutualité craignent surtout une prise de pouvoir par la mutuelle concurrente girondine Myriade. « Elle vient de prêter 1,5 million d'euros à Vittavi. Ce n'est certainement pas pour ses beaux yeux », poursuit Stéphane Mascaron. Justement, une assemblée générale de Vittavi doit se tenir aujourd'hui à Toulouse. « Une convention de substitution entre Myriade et Vittavi va certainement être validée. Le gros risque pour nous, c'est ensuite une fusion avec GVM. Il existe pourtant d'autres solutions qui permettraient de sauver tous les emplois (2), notamment un rapprochement de Landes Mutualité avec Réunica, qui est très intéressé et vient de le rappeler à l'Acam. Mais de cela, l'administrateur provisoire ne veut pas parler », affirme Éric Onselaer.

Toutes ces inquiétudes ont été exposées successivement hier matin au maire Modem de Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq, au député socialiste Alain Vidalies et au président du Conseil général des Landes Henri Emmanuelli. Les représentants syndicaux s'en sont également ouverts auprès du directeur de cabinet de préfet qui les a reçus. Hier soir, Geneviève Darrieussecq réagissait par communiqué. « J'ai le sentiment d'un véritable hold-up dans ce dossier car il me paraît incompréhensible que les difficultés d'une petite structure associée (Vittavi, NDLR) mettent à mal une mutuelle de proximité en plein développement (LM, NDLR). Je ne comprends donc pas pourquoi Landes Mutualité a été placée sous administration provisoire alors qu'aucun danger ne pèse sur ses adhérents. Je ne comprends pas non plus pourquoi le représentant de l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, qui a ordonné cette administration provisoire, refuse, malgré plusieurs sollicitations, de me rencontrer. » Elle n'est pas la seule à se poser cette question.



(1) Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, le gendarme du secteur. (2) GVM compte 200 emplois : 110 sont issus des rangs de Landes Mutualité et 90 de Vittavi.

Deux procédures engagées par des ex-dirigeants de Landes Mutualité démis de leurs fonctions sont en cours. Comme l'avait annoncé Jean-Pierre Feigna, président suspendu, un recours vient d'être déposé devant le Conseil d'État pour faire annuler la mesure d'administration provisoire. Le résultat ne devrait pas être connu avant fin février-début mars.
Par ailleurs, Roger Cousseau, vice-président de GVM suspendu, a déposé une plainte fin décembre au commissariat de Mont-de-Marsan contre l'un des principaux administrateurs de Vittavi. Il l'accuse d'un détournement de fonds de l'ordre de 1 250,82 € correspondant à des notes de frais. On ignore pour l'instant les suites qui seront données à cette plainte.

Le ton se durcit

Source : Sudouest.com
LA JUSTICE EST SAISIE, GVM/LANDES MUTUALITÉ. Hier, les salariés défilaient à Mont-de-Marsan. Les ex-dirigeants ont saisi la justice

Nouvelle manifestation, hier matin, des salariés de GVM/Landes Mutualité, toujours aussi inquiets pour leur avenir depuis que la
mutuelle a été placée sous administration provisoire sur décision de l'Acam (1), en novembre dernier. à la différence des récédentes actions, une soixantaine de personnes ont défilé dans les rues de Mont-de-Marsan au lieu de se cantonner devant le siège de la mutuelle. Une visibilité accrue qui accompagne un durcissement du ton.

Car si les revendications n'ont pas changé, au premier rang desquelles ne pas payer les pots cassés des déboires de Vittavi - avec qui Landes Mutualité est associée au sein de l'union technique GVM -, les arguments se font plus acérés. Dans le collimateur : l'administrateur provisoire, Philippe Bonin, désigné par l'autorité de contrôle pour superviser Vittavi, GVM et Landes Mutualité. « Depuis sa nomination, il n'est venu à Mont-de-Marsan qu'à trois reprises. Il n'y a plus de comités directeurs à Landes Mutualité et la gestion n'est assurée que grâce à la conscience professionnelle des salariés », indique Éric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à GVM.

« Hold-up »
Et le représentant syndical ne prend pas en traître le principal intéressé à qui il a dit tout cela à travers un courrier, envoyé
la semaine dernière, faute de recevoir une réponse à ses demandes de rencontre. Conséquence : la lettre a été transmise en copie au préfet, au procureur de la République de Mont-de-Marsan, à l'inspection du travail et à l'Acam. « L'administrateur provisoire ne fait rien et ne communique absolument pas avec les salariés. Pire, il a accordé une prime à l'incompétence en mettant à la direction par intérim de GVM l'ex-dirigeant de Vittavi (Éric Gautier, NDLR), mutuelle étudiante qui est aujourd'hui en cessation de paiements. C'est à croire qu'ils font tout pour couler Landes Mutualité et en prendre le contrôle », dénonce Stéphane Mascaron, de la CFDT.

Les salariés de Landes Mutualité craignent surtout une prise de pouvoir par la mutuelle concurrente girondine Myriade. « Elle vient de prêter 1,5 million d'euros à Vittavi. Ce n'est certainement pas pour ses beaux yeux », poursuit Stéphane Mascaron. Justement, une assemblée générale de Vittavi doit se tenir aujourd'hui à Toulouse. « Une convention de substitution entre Myriade et Vittavi va certainement être validée. Le gros risque pour nous, c'est ensuite une fusion avec GVM. Il existe pourtant d'autres solutions qui permettraient de sauver tous les emplois (2), notamment un rapprochement de Landes Mutualité avec Réunica, qui est très intéressé et vient de le rappeler à l'Acam. Mais de cela, l'administrateur provisoire ne veut pas parler », affirme Éric Onselaer.

Toutes ces inquiétudes ont été exposées successivement hier matin au maire Modem de Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq, au député socialiste Alain Vidalies et au président du Conseil général des Landes Henri Emmanuelli. Les représentants syndicaux s'en sont également ouverts auprès du directeur de cabinet de préfet qui les a reçus. Hier soir, Geneviève Darrieussecq réagissait par communiqué. « J'ai le sentiment d'un véritable hold-up dans ce dossier car il me paraît incompréhensible que les difficultés d'une petite structure associée (Vittavi, NDLR) mettent à mal une mutuelle de proximité en plein développement (LM, NDLR). Je ne comprends donc pas pourquoi Landes Mutualité a été placée sous administration provisoire alors qu'aucun danger ne pèse sur ses adhérents. Je ne comprends pas non plus pourquoi le représentant de l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, qui a ordonné cette administration provisoire, refuse, malgré plusieurs sollicitations, de me rencontrer. » Elle n'est pas la seule à se poser cette question.



(1) Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, le gendarme du secteur. (2) GVM compte 200 emplois : 110 sont issus des rangs de Landes Mutualité et 90 de Vittavi.

Deux procédures engagées par des ex-dirigeants de Landes Mutualité démis de leurs fonctions sont en cours. Comme l'avait annoncé Jean-Pierre Feigna, président suspendu, un recours vient d'être déposé devant le Conseil d'État pour faire annuler la mesure d'administration provisoire. Le résultat ne devrait pas être connu avant fin février-début mars.
Par ailleurs, Roger Cousseau, vice-président de GVM suspendu, a déposé une plainte fin décembre au commissariat de Mont-de-Marsan contre l'un des principaux administrateurs de Vittavi. Il l'accuse d'un détournement de fonds de l'ordre de 1 250,82 € correspondant à des notes de frais. On ignore pour l'instant les suites qui seront données à cette plainte.

Le ton se durcit

Source : Sudouest.com
LA JUSTICE EST SAISIE, GVM/LANDES MUTUALITÉ. Hier, les salariés défilaient à Mont-de-Marsan. Les ex-dirigeants ont saisi la justice

Nouvelle manifestation, hier matin, des salariés de GVM/Landes Mutualité, toujours aussi inquiets pour leur avenir depuis que la
mutuelle a été placée sous administration provisoire sur décision de l'Acam (1), en novembre dernier. à la différence des récédentes actions, une soixantaine de personnes ont défilé dans les rues de Mont-de-Marsan au lieu de se cantonner devant le siège de la mutuelle. Une visibilité accrue qui accompagne un durcissement du ton.

Car si les revendications n'ont pas changé, au premier rang desquelles ne pas payer les pots cassés des déboires de Vittavi - avec qui Landes Mutualité est associée au sein de l'union technique GVM -, les arguments se font plus acérés. Dans le collimateur : l'administrateur provisoire, Philippe Bonin, désigné par l'autorité de contrôle pour superviser Vittavi, GVM et Landes Mutualité. « Depuis sa nomination, il n'est venu à Mont-de-Marsan qu'à trois reprises. Il n'y a plus de comités directeurs à Landes Mutualité et la gestion n'est assurée que grâce à la conscience professionnelle des salariés », indique Éric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à GVM.

« Hold-up »
Et le représentant syndical ne prend pas en traître le principal intéressé à qui il a dit tout cela à travers un courrier, envoyé
la semaine dernière, faute de recevoir une réponse à ses demandes de rencontre. Conséquence : la lettre a été transmise en copie au préfet, au procureur de la République de Mont-de-Marsan, à l'inspection du travail et à l'Acam. « L'administrateur provisoire ne fait rien et ne communique absolument pas avec les salariés. Pire, il a accordé une prime à l'incompétence en mettant à la direction par intérim de GVM l'ex-dirigeant de Vittavi (Éric Gautier, NDLR), mutuelle étudiante qui est aujourd'hui en cessation de paiements. C'est à croire qu'ils font tout pour couler Landes Mutualité et en prendre le contrôle », dénonce Stéphane Mascaron, de la CFDT.

Les salariés de Landes Mutualité craignent surtout une prise de pouvoir par la mutuelle concurrente girondine Myriade. « Elle vient de prêter 1,5 million d'euros à Vittavi. Ce n'est certainement pas pour ses beaux yeux », poursuit Stéphane Mascaron. Justement, une assemblée générale de Vittavi doit se tenir aujourd'hui à Toulouse. « Une convention de substitution entre Myriade et Vittavi va certainement être validée. Le gros risque pour nous, c'est ensuite une fusion avec GVM. Il existe pourtant d'autres solutions qui permettraient de sauver tous les emplois (2), notamment un rapprochement de Landes Mutualité avec Réunica, qui est très intéressé et vient de le rappeler à l'Acam. Mais de cela, l'administrateur provisoire ne veut pas parler », affirme Éric Onselaer.

Toutes ces inquiétudes ont été exposées successivement hier matin au maire Modem de Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq, au député socialiste Alain Vidalies et au président du Conseil général des Landes Henri Emmanuelli. Les représentants syndicaux s'en sont également ouverts auprès du directeur de cabinet de préfet qui les a reçus. Hier soir, Geneviève Darrieussecq réagissait par communiqué. « J'ai le sentiment d'un véritable hold-up dans ce dossier car il me paraît incompréhensible que les difficultés d'une petite structure associée (Vittavi, NDLR) mettent à mal une mutuelle de proximité en plein développement (LM, NDLR). Je ne comprends donc pas pourquoi Landes Mutualité a été placée sous administration provisoire alors qu'aucun danger ne pèse sur ses adhérents. Je ne comprends pas non plus pourquoi le représentant de l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, qui a ordonné cette administration provisoire, refuse, malgré plusieurs sollicitations, de me rencontrer. » Elle n'est pas la seule à se poser cette question.



(1) Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, le gendarme du secteur. (2) GVM compte 200 emplois : 110 sont issus des rangs de Landes Mutualité et 90 de Vittavi.

Deux procédures engagées par des ex-dirigeants de Landes Mutualité démis de leurs fonctions sont en cours. Comme l'avait annoncé Jean-Pierre Feigna, président suspendu, un recours vient d'être déposé devant le Conseil d'État pour faire annuler la mesure d'administration provisoire. Le résultat ne devrait pas être connu avant fin février-début mars.
Par ailleurs, Roger Cousseau, vice-président de GVM suspendu, a déposé une plainte fin décembre au commissariat de Mont-de-Marsan contre l'un des principaux administrateurs de Vittavi. Il l'accuse d'un détournement de fonds de l'ordre de 1 250,82 € correspondant à des notes de frais. On ignore pour l'instant les suites qui seront données à cette plainte.

Le ton se durcit

Source : Sudouest.com
LA JUSTICE EST SAISIE, GVM/LANDES MUTUALITÉ. Hier, les salariés défilaient à Mont-de-Marsan. Les ex-dirigeants ont saisi la justice

Nouvelle manifestation, hier matin, des salariés de GVM/Landes Mutualité, toujours aussi inquiets pour leur avenir depuis que la
mutuelle a été placée sous administration provisoire sur décision de l'Acam (1), en novembre dernier. à la différence des récédentes actions, une soixantaine de personnes ont défilé dans les rues de Mont-de-Marsan au lieu de se cantonner devant le siège de la mutuelle. Une visibilité accrue qui accompagne un durcissement du ton.

Car si les revendications n'ont pas changé, au premier rang desquelles ne pas payer les pots cassés des déboires de Vittavi - avec qui Landes Mutualité est associée au sein de l'union technique GVM -, les arguments se font plus acérés. Dans le collimateur : l'administrateur provisoire, Philippe Bonin, désigné par l'autorité de contrôle pour superviser Vittavi, GVM et Landes Mutualité. « Depuis sa nomination, il n'est venu à Mont-de-Marsan qu'à trois reprises. Il n'y a plus de comités directeurs à Landes Mutualité et la gestion n'est assurée que grâce à la conscience professionnelle des salariés », indique Éric Onselaer, secrétaire général Force ouvrière à GVM.

« Hold-up »
Et le représentant syndical ne prend pas en traître le principal intéressé à qui il a dit tout cela à travers un courrier, envoyé
la semaine dernière, faute de recevoir une réponse à ses demandes de rencontre. Conséquence : la lettre a été transmise en copie au préfet, au procureur de la République de Mont-de-Marsan, à l'inspection du travail et à l'Acam. « L'administrateur provisoire ne fait rien et ne communique absolument pas avec les salariés. Pire, il a accordé une prime à l'incompétence en mettant à la direction par intérim de GVM l'ex-dirigeant de Vittavi (Éric Gautier, NDLR), mutuelle étudiante qui est aujourd'hui en cessation de paiements. C'est à croire qu'ils font tout pour couler Landes Mutualité et en prendre le contrôle », dénonce Stéphane Mascaron, de la CFDT.

Les salariés de Landes Mutualité craignent surtout une prise de pouvoir par la mutuelle concurrente girondine Myriade. « Elle vient de prêter 1,5 million d'euros à Vittavi. Ce n'est certainement pas pour ses beaux yeux », poursuit Stéphane Mascaron. Justement, une assemblée générale de Vittavi doit se tenir aujourd'hui à Toulouse. « Une convention de substitution entre Myriade et Vittavi va certainement être validée. Le gros risque pour nous, c'est ensuite une fusion avec GVM. Il existe pourtant d'autres solutions qui permettraient de sauver tous les emplois (2), notamment un rapprochement de Landes Mutualité avec Réunica, qui est très intéressé et vient de le rappeler à l'Acam. Mais de cela, l'administrateur provisoire ne veut pas parler », affirme Éric Onselaer.

Toutes ces inquiétudes ont été exposées successivement hier matin au maire Modem de Mont-de-Marsan, Geneviève Darrieussecq, au député socialiste Alain Vidalies et au président du Conseil général des Landes Henri Emmanuelli. Les représentants syndicaux s'en sont également ouverts auprès du directeur de cabinet de préfet qui les a reçus. Hier soir, Geneviève Darrieussecq réagissait par communiqué. « J'ai le sentiment d'un véritable hold-up dans ce dossier car il me paraît incompréhensible que les difficultés d'une petite structure associée (Vittavi, NDLR) mettent à mal une mutuelle de proximité en plein développement (LM, NDLR). Je ne comprends donc pas pourquoi Landes Mutualité a été placée sous administration provisoire alors qu'aucun danger ne pèse sur ses adhérents. Je ne comprends pas non plus pourquoi le représentant de l'Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, qui a ordonné cette administration provisoire, refuse, malgré plusieurs sollicitations, de me rencontrer. » Elle n'est pas la seule à se poser cette question.



(1) Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, le gendarme du secteur. (2) GVM compte 200 emplois : 110 sont issus des rangs de Landes Mutualité et 90 de Vittavi.

Deux procédures engagées par des ex-dirigeants de Landes Mutualité démis de leurs fonctions sont en cours. Comme l'avait annoncé Jean-Pierre Feigna, président suspendu, un recours vient d'être déposé devant le Conseil d'État pour faire annuler la mesure d'administration provisoire. Le résultat ne devrait pas être connu avant fin février-début mars.
Par ailleurs, Roger Cousseau, vice-président de GVM suspendu, a déposé une plainte fin décembre au commissariat de Mont-de-Marsan contre l'un des principaux administrateurs de Vittavi. Il l'accuse d'un détournement de fonds de l'ordre de 1 250,82 € correspondant à des notes de frais. On ignore pour l'instant les suites qui seront données à cette plainte.

jeudi 21 janvier 2010

Puisqu'on vous le dit ....

... depuis 2 mois maintenant ! Faire passer la Vérité malgré l'adversité : voilà la principale raison d'être de ce blog.

Nous avions averti qu'il y avait une substitution prévue avec Myriade, que le « prêt » de 1,5M€ n'était que l'arbre qui cache la forêt. On nous a accusé de crier au Loup à tord et à travers. Mais nous avons raison et nous donnons une fois de plus une information très Claire et facilement vérifiable : une Assemblée Générale de Vittavi va avoir lieu très prochainement ; cette AG a été soigneusement « préparée » par la direction (provisoire, interim et suspendue), c'est-à-dire que les délégués ont eu droit à un lavage de cerveau en règle, labellisé DUPes.

Cette Assemblée Générale va valider, devinez quoi ? Une substitution de Vittavi par Myriade ! Avec une délégation de gestion à la clé, on vous laisse deviner la suite ... Pas d'imagination ? On peut vous aider : une fois le Loup Myriade dans la bergerie de Toulouse, à votre avis, que va-t'il se passer pour les moutons du siège ?

C'est le moment de se réveiller pour ceux qui ne veulent rien voir ou qui se croient à l'abri. Quand le Loup aura croqué les moutons, il sera trop tard ! Il ira voir la bergerie suivante, dans les Landes...

... Mais les moutons Landais sont enragés !

Puisqu'on vous le dit ....

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Nous avions averti qu'il y avait une substitution prévue avec Myriade, que le « prêt » de 1,5M€ n'était que l'arbre qui cache la forêt. On nous a accusé de crier au Loup à tord et à travers. Mais nous avons raison et nous donnons une fois de plus une information très Claire et facilement vérifiable : une Assemblée Générale de Vittavi va avoir lieu très prochainement ; cette AG a été soigneusement « préparée » par la direction (provisoire, interim et suspendue), c'est-à-dire que les délégués ont eu droit à un lavage de cerveau en règle, labellisé DUPes.

Cette Assemblée Générale va valider, devinez quoi ? Une substitution de Vittavi par Myriade ! Avec une délégation de gestion à la clé, on vous laisse deviner la suite ... Pas d'imagination ? On peut vous aider : une fois le Loup Myriade dans la bergerie de Toulouse, à votre avis, que va-t'il se passer pour les moutons du siège ?

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Puisqu'on vous le dit ....

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Cette Assemblée Générale va valider, devinez quoi ? Une substitution de Vittavi par Myriade ! Avec une délégation de gestion à la clé, on vous laisse deviner la suite ... Pas d'imagination ? On peut vous aider : une fois le Loup Myriade dans la bergerie de Toulouse, à votre avis, que va-t'il se passer pour les moutons du siège ?

C'est le moment de se réveiller pour ceux qui ne veulent rien voir ou qui se croient à l'abri. Quand le Loup aura croqué les moutons, il sera trop tard ! Il ira voir la bergerie suivante, dans les Landes...

... Mais les moutons Landais sont enragés !

Puisqu'on vous le dit ....

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Nous avions averti qu'il y avait une substitution prévue avec Myriade, que le « prêt » de 1,5M€ n'était que l'arbre qui cache la forêt. On nous a accusé de crier au Loup à tord et à travers. Mais nous avons raison et nous donnons une fois de plus une information très Claire et facilement vérifiable : une Assemblée Générale de Vittavi va avoir lieu très prochainement ; cette AG a été soigneusement « préparée » par la direction (provisoire, interim et suspendue), c'est-à-dire que les délégués ont eu droit à un lavage de cerveau en règle, labellisé DUPes.

Cette Assemblée Générale va valider, devinez quoi ? Une substitution de Vittavi par Myriade ! Avec une délégation de gestion à la clé, on vous laisse deviner la suite ... Pas d'imagination ? On peut vous aider : une fois le Loup Myriade dans la bergerie de Toulouse, à votre avis, que va-t'il se passer pour les moutons du siège ?

C'est le moment de se réveiller pour ceux qui ne veulent rien voir ou qui se croient à l'abri. Quand le Loup aura croqué les moutons, il sera trop tard ! Il ira voir la bergerie suivante, dans les Landes...

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lundi 18 janvier 2010

La mutuelle Vittavi vit sa vie en sursis

Source : ToulEco.fr
Huit ans après les turbulences qui avaient secoué la Smeso et la mise en examen de son ancien directeur, Christian Fardou, pour « abus de confiance, abus de biens sociaux et escroquerie », la mutuelle étudiante toulousaine, rebaptisée Vittavi en 2003, connaît une nouvelle période de trouble. En cessation de paiement avec à son compteur 2 millions d’euros de perte en 2009, elle a été placée en octobre sous l’administration provisoire par l’Acam, Autorité de contrôle des assurances et mutuelles.

Huit ans seulement après avoir défrayé la chronique, l’ancienne Smeso, aujourd’hui Vittavi, fait de nouveau parler d’elle. On se souvient que la mutuelle étudiante toulousaine avait fait l’objet en 2000, pour ses dysfonctionnements, d’un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales et d’une enquête de la division financière de la police judiciaire. Et que son ancien dirigeant, Christian Fardou, mis en examen en 2002 pour « abus de confiance, abus de biens sociaux et escroquerie » a finalement été condamné en appel en janvier 2007 à quatre ans de prison dont trois avec sursis, interdiction de gérer une entreprise pendant cinq ans, privation des droits civiques pour la même durée de cinq ans et surtout à une amende de 100.000 euros.

Alors que ce lourd passif pèse encore sur les mémoires des salariés, un nouveau coup de projecteur vient mettre en lumière des problèmes de gestion et des choix stratégiques contestables au sein de la mutuelle. L’affaire remonte à octobre 2008, date de création du Groupe Vittavi Mutualité, né de l’union technique de Vittavi et de la mutuelle généraliste Landes Mutualité. Objectif affiché de ce nouvel ensemble présent sur Midi-Pyrénées, l’Aquitaine et le Limousin avec 27 agences, 170 salariés, 190.000 adhérents et 55 millions d’euros de chiffre d’affaires : atteindre 400.000 adhérents à 5 ans et 100 millions d’euros de CA.

Deux millions d’euros de perte
En un an, la nouvelle entité a connu un fort développement avec l’ouverture de nouvelles agences, notamment rue des Lois à Toulouse, sous la marque commune Génération Mutuelles. Mais ses ambitions se sont vite écroulées...

En cessation de paiement avec deux millions d’euros de pertes financières en 2009, Vittavi a été placée sous la tutelle de l’Acam en octobre dernier. Et il s’avère qu’un mois plus tard, en novembre, l’Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, a nommé le même administrateur provisoire pour le Groupe Vittavi Mutualité. L’Acam estime en effet que l’union GVM pourrait être « en état de cessation des paiements fin 2009-début 2010 » du fait des problèmes financiers de Vittavi. Landes Mutualité ayant délégué sa gestion à l’union GVM, elle devrait aussi, selon nos informations, être placée sous administration provisoire.

« Vittavi était déjà mal en point en octobre 2008. L’union technique avec Landes Mutualité et ses 37 millions de trésorerie l’ont sauvée. Par le biais du groupe, Vittavi a bénéficié de l’expertise, des compétences et des moyens de son partenaire qui lui, a pu rajeunir son portefeuille. Pour la première fois depuis longtemps, Vittavi recommençait à gagner des parts de marché. Et voilà où nous en sommes. On ne sait même pas comment les salaires de février vont être payés », témoigne un salarié du Groupe Vittavi Mutualité.

Des aberrations de gestion
Développement hasardeux dans les Dom-Tom où selon des salariés, les dirigeants de « passaient plus de temps qu’en France », aberrations de gestion, manque d’anticipation… Des membres du personnel évoquent la gestion « catastrophique » de Vittavi, ce que semble confirmer l’ancien président de Landes Mutualité sur le site de l’Argus de l’assurance, qui dénonce les notes de frais « faramineuses » émises par Vittavi, notamment pour « des voyages dans les Dom-Tom justifiées par l’ouverture d’agences dont certaines ne comptaient pas plus de dix adhérents ».

Mais étonnamment, Eric Gautier, ancien directeur de Vittavi démis de ses fonctions dès la mise sous administration provisoire de la mutuelle par l’Acam, se retrouve aujourd’hui directeur général par interim de GVM à la place de Jacques Marsant, ex-DG du groupe et de Landes Mutualité. « Il a des appuis c’est certain mais à quel niveau ? », s’interroge un salarié à propos du jeune dirigeant, membre du Conseil national du Modem.

Fin du bail en juin
« Pourquoi Myriade, une mutuelle concurrente de Landes Mutualité, a-t-elle accordé en décembre un prêt d’1,5 millions d’euros à Vittavi ? Il y aurait aussi des négociations avec Sud-Ouest Mutualité et Apicil alors que l’offre de Reunica, de loin la plus satisfaisante, a été écartée… On est en train de sauver Vittavi en cessation de paiement et de déshabiller Landes Mutualité qui est en bonne santé financière ! Par ailleurs, le bail du siège social de Vittavi a été donné et arrive à son terme en juin. On devra donc déménager », s’inquiète ce salarié qui, comme beaucoup de ses collègues, se demande « à quelle sauce il va être mangé ».

Contactée à plusieurs reprises pour commenter ces informations, la direction de Vittavi et du Groupe Vittavi Mutualité n’a pas donné suite à nos appels. De son côté, l’Acam précise « ne pas communiquer sur le dossier ».

Johanna Decorse, ToulEco.

La mutuelle Vittavi vit sa vie en sursis

Source : ToulEco.fr
Huit ans après les turbulences qui avaient secoué la Smeso et la mise en examen de son ancien directeur, Christian Fardou, pour « abus de confiance, abus de biens sociaux et escroquerie », la mutuelle étudiante toulousaine, rebaptisée Vittavi en 2003, connaît une nouvelle période de trouble. En cessation de paiement avec à son compteur 2 millions d’euros de perte en 2009, elle a été placée en octobre sous l’administration provisoire par l’Acam, Autorité de contrôle des assurances et mutuelles.

Huit ans seulement après avoir défrayé la chronique, l’ancienne Smeso, aujourd’hui Vittavi, fait de nouveau parler d’elle. On se souvient que la mutuelle étudiante toulousaine avait fait l’objet en 2000, pour ses dysfonctionnements, d’un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales et d’une enquête de la division financière de la police judiciaire. Et que son ancien dirigeant, Christian Fardou, mis en examen en 2002 pour « abus de confiance, abus de biens sociaux et escroquerie » a finalement été condamné en appel en janvier 2007 à quatre ans de prison dont trois avec sursis, interdiction de gérer une entreprise pendant cinq ans, privation des droits civiques pour la même durée de cinq ans et surtout à une amende de 100.000 euros.

Alors que ce lourd passif pèse encore sur les mémoires des salariés, un nouveau coup de projecteur vient mettre en lumière des problèmes de gestion et des choix stratégiques contestables au sein de la mutuelle. L’affaire remonte à octobre 2008, date de création du Groupe Vittavi Mutualité, né de l’union technique de Vittavi et de la mutuelle généraliste Landes Mutualité. Objectif affiché de ce nouvel ensemble présent sur Midi-Pyrénées, l’Aquitaine et le Limousin avec 27 agences, 170 salariés, 190.000 adhérents et 55 millions d’euros de chiffre d’affaires : atteindre 400.000 adhérents à 5 ans et 100 millions d’euros de CA.

Deux millions d’euros de perte
En un an, la nouvelle entité a connu un fort développement avec l’ouverture de nouvelles agences, notamment rue des Lois à Toulouse, sous la marque commune Génération Mutuelles. Mais ses ambitions se sont vite écroulées...

En cessation de paiement avec deux millions d’euros de pertes financières en 2009, Vittavi a été placée sous la tutelle de l’Acam en octobre dernier. Et il s’avère qu’un mois plus tard, en novembre, l’Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, a nommé le même administrateur provisoire pour le Groupe Vittavi Mutualité. L’Acam estime en effet que l’union GVM pourrait être « en état de cessation des paiements fin 2009-début 2010 » du fait des problèmes financiers de Vittavi. Landes Mutualité ayant délégué sa gestion à l’union GVM, elle devrait aussi, selon nos informations, être placée sous administration provisoire.

« Vittavi était déjà mal en point en octobre 2008. L’union technique avec Landes Mutualité et ses 37 millions de trésorerie l’ont sauvée. Par le biais du groupe, Vittavi a bénéficié de l’expertise, des compétences et des moyens de son partenaire qui lui, a pu rajeunir son portefeuille. Pour la première fois depuis longtemps, Vittavi recommençait à gagner des parts de marché. Et voilà où nous en sommes. On ne sait même pas comment les salaires de février vont être payés », témoigne un salarié du Groupe Vittavi Mutualité.

Des aberrations de gestion
Développement hasardeux dans les Dom-Tom où selon des salariés, les dirigeants de « passaient plus de temps qu’en France », aberrations de gestion, manque d’anticipation… Des membres du personnel évoquent la gestion « catastrophique » de Vittavi, ce que semble confirmer l’ancien président de Landes Mutualité sur le site de l’Argus de l’assurance, qui dénonce les notes de frais « faramineuses » émises par Vittavi, notamment pour « des voyages dans les Dom-Tom justifiées par l’ouverture d’agences dont certaines ne comptaient pas plus de dix adhérents ».

Mais étonnamment, Eric Gautier, ancien directeur de Vittavi démis de ses fonctions dès la mise sous administration provisoire de la mutuelle par l’Acam, se retrouve aujourd’hui directeur général par interim de GVM à la place de Jacques Marsant, ex-DG du groupe et de Landes Mutualité. « Il a des appuis c’est certain mais à quel niveau ? », s’interroge un salarié à propos du jeune dirigeant, membre du Conseil national du Modem.

Fin du bail en juin
« Pourquoi Myriade, une mutuelle concurrente de Landes Mutualité, a-t-elle accordé en décembre un prêt d’1,5 millions d’euros à Vittavi ? Il y aurait aussi des négociations avec Sud-Ouest Mutualité et Apicil alors que l’offre de Reunica, de loin la plus satisfaisante, a été écartée… On est en train de sauver Vittavi en cessation de paiement et de déshabiller Landes Mutualité qui est en bonne santé financière ! Par ailleurs, le bail du siège social de Vittavi a été donné et arrive à son terme en juin. On devra donc déménager », s’inquiète ce salarié qui, comme beaucoup de ses collègues, se demande « à quelle sauce il va être mangé ».

Contactée à plusieurs reprises pour commenter ces informations, la direction de Vittavi et du Groupe Vittavi Mutualité n’a pas donné suite à nos appels. De son côté, l’Acam précise « ne pas communiquer sur le dossier ».

Johanna Decorse, ToulEco.

La mutuelle Vittavi vit sa vie en sursis

Source : ToulEco.fr
Huit ans après les turbulences qui avaient secoué la Smeso et la mise en examen de son ancien directeur, Christian Fardou, pour « abus de confiance, abus de biens sociaux et escroquerie », la mutuelle étudiante toulousaine, rebaptisée Vittavi en 2003, connaît une nouvelle période de trouble. En cessation de paiement avec à son compteur 2 millions d’euros de perte en 2009, elle a été placée en octobre sous l’administration provisoire par l’Acam, Autorité de contrôle des assurances et mutuelles.

Huit ans seulement après avoir défrayé la chronique, l’ancienne Smeso, aujourd’hui Vittavi, fait de nouveau parler d’elle. On se souvient que la mutuelle étudiante toulousaine avait fait l’objet en 2000, pour ses dysfonctionnements, d’un rapport de l’Inspection générale des affaires sociales et d’une enquête de la division financière de la police judiciaire. Et que son ancien dirigeant, Christian Fardou, mis en examen en 2002 pour « abus de confiance, abus de biens sociaux et escroquerie » a finalement été condamné en appel en janvier 2007 à quatre ans de prison dont trois avec sursis, interdiction de gérer une entreprise pendant cinq ans, privation des droits civiques pour la même durée de cinq ans et surtout à une amende de 100.000 euros.

Alors que ce lourd passif pèse encore sur les mémoires des salariés, un nouveau coup de projecteur vient mettre en lumière des problèmes de gestion et des choix stratégiques contestables au sein de la mutuelle. L’affaire remonte à octobre 2008, date de création du Groupe Vittavi Mutualité, né de l’union technique de Vittavi et de la mutuelle généraliste Landes Mutualité. Objectif affiché de ce nouvel ensemble présent sur Midi-Pyrénées, l’Aquitaine et le Limousin avec 27 agences, 170 salariés, 190.000 adhérents et 55 millions d’euros de chiffre d’affaires : atteindre 400.000 adhérents à 5 ans et 100 millions d’euros de CA.

Deux millions d’euros de perte
En un an, la nouvelle entité a connu un fort développement avec l’ouverture de nouvelles agences, notamment rue des Lois à Toulouse, sous la marque commune Génération Mutuelles. Mais ses ambitions se sont vite écroulées...

En cessation de paiement avec deux millions d’euros de pertes financières en 2009, Vittavi a été placée sous la tutelle de l’Acam en octobre dernier. Et il s’avère qu’un mois plus tard, en novembre, l’Autorité de contrôle des assurances et mutuelles, a nommé le même administrateur provisoire pour le Groupe Vittavi Mutualité. L’Acam estime en effet que l’union GVM pourrait être « en état de cessation des paiements fin 2009-début 2010 » du fait des problèmes financiers de Vittavi. Landes Mutualité ayant délégué sa gestion à l’union GVM, elle devrait aussi, selon nos informations, être placée sous administration provisoire.

« Vittavi était déjà mal en point en octobre 2008. L’union technique avec Landes Mutualité et ses 37 millions de trésorerie l’ont sauvée. Par le biais du groupe, Vittavi a bénéficié de l’expertise, des compétences et des moyens de son partenaire qui lui, a pu rajeunir son portefeuille. Pour la première fois depuis longtemps, Vittavi recommençait à gagner des parts de marché. Et voilà où nous en sommes. On ne sait même pas comment les salaires de février vont être payés », témoigne un salarié du Groupe Vittavi Mutualité.

Des aberrations de gestion
Développement hasardeux dans les Dom-Tom où selon des salariés, les dirigeants de « passaient plus de temps qu’en France », aberrations de gestion, manque d’anticipation… Des membres du personnel évoquent la gestion « catastrophique » de Vittavi, ce que semble confirmer l’ancien président de Landes Mutualité sur le site de l’Argus de l’assurance, qui dénonce les notes de frais « faramineuses » émises par Vittavi, notamment pour « des voyages dans les Dom-Tom justifiées par l’ouverture d’agences dont certaines ne comptaient pas plus de dix adhérents ».

Mais étonnamment, Eric Gautier, ancien directeur de Vittavi démis de ses fonctions dès la mise sous administration provisoire de la mutuelle par l’Acam, se retrouve aujourd’hui directeur général par interim de GVM à la place de Jacques Marsant, ex-DG du groupe et de Landes Mutualité. « Il a des appuis c’est certain mais à quel niveau ? », s’interroge un salarié à propos du jeune dirigeant, membre du Conseil national du Modem.

Fin du bail en juin
« Pourquoi Myriade, une mutuelle concurrente de Landes Mutualité, a-t-elle accordé en décembre un prêt d’1,5 millions d’euros à Vittavi ? Il y aurait aussi des négociations avec Sud-Ouest Mutualité et Apicil alors que l’offre de Reunica, de loin la plus satisfaisante, a été écartée… On est en train de sauver Vittavi en cessation de paiement et de déshabiller Landes Mutualité qui est en bonne santé financière ! Par ailleurs, le bail du siège social de Vittavi a été donné et arrive à son terme en juin. On devra donc déménager », s’inquiète ce salarié qui, comme beaucoup de ses collègues, se demande « à quelle sauce il va être mangé ».

Contactée à plusieurs reprises pour commenter ces informations, la direction de Vittavi et du Groupe Vittavi Mutualité n’a pas donné suite à nos appels. De son côté, l’Acam précise « ne pas communiquer sur le dossier ».

Johanna Decorse, ToulEco.